Mon premier séminaire d'entreprise
Datte: 10/12/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Cliteros, Source: Hds
Je m’appelle Isabelle, je suis une jeune femme de 24 ans, de taille moyenne, cheveux châtains mi-longs avec des yeux de couleur marron mais teintée de nuances vertes, ne laissant jamais mon regard indifférent. Je possède d’après mon copain des formes « à faire bander le pape » : de beaux seins en goutte d’eau assortis de jolis petits tétons roses, une taille fine et des hanches bien dessinées que mon copain adore prendre dans ses bras, et des fesses rondes assez musclées, le tout me donnant une silhouette dite en X, faisant se retourner la plupart des hommes, de tout âge, dans la rue.
Je travaille dans une grande entreprise dans le domaine de l’agriculture, qui possède une vingtaine d’agences réparties sur l’ensemble des régions métropolitaines et d’outre-mer françaises. Mon copain, Gabriel, est quant à lui ingénieur dans le bâtiment. Nous habitons ensemble depuis cinq ans dans un appartement à Angers, dans le Maine-et-Loire.
Je venais d’être embauchée depuis deux semaines lorsque mon entreprise organisait la semaine suivante son séminaire annuel en réunissant pour la première fois l’ensemble des salariés des différentes agences, ce qui faisait tout de même près de 200 personnes. Pour cela, l’organisation avait réservé pendant une semaine, du lundi au dimanche, une grande abbaye transformée en hôtel-spa-réceptions-restaurant à côté de Concarneau dans le Finistère. Tous les employés et les différents intervenants invités devaient loger dans des chambres doubles en ...
... binôme, et les réunions ou présentations devaient se dérouler en extérieur dans le parc car la météo s’annonçait extraordinaire. Après plus de six mois à chercher du travail, c’était la première fois que j’allais passer une semaine complète loin de mon homme.
Tôt le lundi matin, premier jour du séminaire, j’embrassai passionnément mon copain qui me souhaita, à moitié endormi, une bonne route. Je me suis habillée en tenue légère car il faisait déjà chaud : une chemisette blanche qui laissait légèrement entrevoir en transparence mon soutien-gorge, et un pantacourt en jean bleu classique. Au moment où j’allais partir, la main encore sur la poignée de la porte d’entrée entrebâillée, je jetai un dernier regard vers la chambre où dormait mon copain, et je ressentis alors une sensation de manque qui me prit le cœur et le ventre. Je fis marche arrière, refermant la porte et déposant ma valise contre le mur du salon, et je me déplaçai, sur la pointe des pieds pour ne pas faire claquer mes talons, vers la chambre dont j’entrouvris la porte. Gabriel dormait. Il était nu, allongé sur le côté gauche en chien-de-fusil, ses bras musclés repliés sous son oreiller, la couette ne recouvrant que ses chevilles. Le voir ainsi me donna encore plus envie de faire ce que j’avais en tête quand j’ai décidé de revenir vers la chambre : je me suis agenouillée en silence au bord du lit, et j’ai pris son sexe mou dans ma main droite. Je le sentis frémir sous ce contact imprévu. Je suis restée un court ...