1. Les cocus anonymes. (6)


    Datte: 09/12/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... fellation, pénétration et sodomie. Il n’y a pas à dire, Bénédicte est vraiment une belle femme et elle semble insatiable. Nicolas montre une belle endurance et Dieu sait qu’il en faut pour répondre aux attentes de la déesse.
    
    Lorsque le jeune homme quitte enfin les lieux, Bénédicte dit à son mari
    
    — Oh chéri, tu as été parfait dans ton rôle et j’ai lu dans ton regard combien tout cela t’a excité.
    
    Bien évidemment, le pauvre homme n’ose pas lui avouer que c’est tout le contraire. Puis sa femme poursuit
    
    — Allez, viens me lécher la chatte. J’ai envie de ta langue dans mon sexe.
    
    Le voici maintenant obligé de faire un cunnilingus à sa femme, de recueillir dans sa bouche la mouille et le sperme des amants. Il doit vraiment boire le calice jusqu’à la lie.
    
    Depuis ce soir et ce depuis maintenant cinq ans, environ trois ou quatre fois par mois, Benoît endosse les habits de Hakri grand maître des offrandes. Parfois, ce sont jusqu’à trois jeunes mâles qui viennent apporter en même temps leurs offrandes à la belle déesse Hahkor. Une fois la cérémonie débutée, Hakri s’assoie sur un siège dans un coin de la pièce et assiste aux fougueux ébats. Il a fini par y trouver un certain plaisir, par raison plus que par passion.
    
    Parfois lorsque la cérémonie est terminée, au lieu de devoir lécher lui la chatte, il a le droit de venir se branler sur ses seins ou son ventre. Il en profite, fait durer le plaisir et se répand longuement sur le corps de sa femme qui a été auparavant ...
    ... longuement honoré comme il se doit par ses fidèles adorateurs.
    
    Parvenu à la fin de son récit, Benoît lève la tête, regarde l’un après l’autre tous les frères cocus présents autour de lui puis dit d’une voix lente
    
    — Finalement, je ne peux pas dire que la situation me rende malheureux car je vis toujours avec Bénédicte que j’adore. Je ne vais pas vous dire non plus que je sois ravi de mon rôle de cocu voyeur mais je me suis habitué à la situation. Et n’est-ce pas là l’essentiel !
    
    Une fois la réunion terminée, je remonte à pied jusqu’à notre appartement où Chantal doit certainement être couchée depuis longtemps. Je repense à l’histoire de frère Benoît et je me dis que ma situation est bien plus enviable que la sienne. Moi au moins, je ressens un plaisir certain à assister aux ébats adultérins de ma femme, même si c’est à distance. Ce n’est pas elle qui court après les hommes, c’est moi qui les fais venir à la maison, bien innocemment au début mais avec une certaine malice maintenant.
    
    Cela me fait d’ailleurs penser que les travaux d’aménagement de la cuisine sont terminés et que mon ami Ali ne va plus avoir l’occasion de passer à la maison pour quelques menus travaux. Il va falloir que j’y réfléchisse car je sais pertinemment que je ne pourrai pas rester trop longtemps sans regarder Chantal se faire bien besogner à la maison en mon absence.
    
    Me souvenant du récit de frère Jean-Eudes, il y a quinze jours, et de la passion de sa femme Joséphine pour les belles queues ...