Ma famille perverse (1)
Datte: 08/12/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Blackcameroun, Source: Xstory
Je m’appelle William. Je suis un black camerounais de 30ans maintenant, et je vis en France depuis l’âge de 18ans. Cette histoire s’est passée lorsque j’avais 18 ans. Je vivais encore à Douala, capitale économique du pays, dans un quartier résidentiel calme, avec mes parents, Antoine et Myriam et mon frère de 19 ans, Teddy. Ma mère était souvent absente. Infirmière de nuit, par choix, elle n’a jamais été très aimante. Elle aurait voulu avoir des filles, et après ma naissance, des complications l’ont empêché d’avoir d’autres enfants. Quand elle était là, nous lui étions indifférents presque étrangers, surtout moi, car elle me considérait comme coupable de sa stérilité. Notre père, militaire, a renoncé à une partie de ses activités de terrain pour un travail administratif pour s’occuper de nous, et il jouait comme il pouvait à la fois le rôle de père et de mère. Nous avons été mis au sport assez jeune, ce qui nous a permis d’avoir un physique plutôt agréable.
J’avais su, en entendant un jour une conversation téléphonique qu’entre mon père et ma mère, il n’y avait plus rien de sexuel depuis longtemps, que leur couple était en réalité, plus une cohabitation qu’autre chose. J’avais presque pu entendre ses larmes et depuis ce jour, je ressentais de la haine pour cette femme.
Mon frère était parti étudier en France au début de l’année universitaire, me laissant seul avec mon père et ma génitrice. Ce fut très dur à supporter, car nous sommes très proches. Je me suis ...
... toujours senti attiré par les garçons et j’avoue sans aucune gêne avoir été attiré par les modèles qu’étaient mon frère et mon père. Avec mon frère, la nudité n’avait jamais été un problème et j’avais souvent l’occasion de le voir nu, dans la salle de bains, ou dans les vestiaires lors de nos entraînements. Je le désirais, mais je n’ai jamais osé rien tenter. Je me contentais d’admirer son corps. D’ailleurs on se ressemblait beaucoup, un corps musclé, de belles fesses rebondies et 20 centimètres dans le slip, la sienne juste un peu plus large que la mienne. Notre principale différence résidait dans notre pilosité. Lui, juste un duvet sur le ventre, qui se prolongeait jusqu’au pubis bien fourni, ainsi que dans la raie.
De mon côté, j’avais hérité de la pilosité de mon père, abondante à peu partout, très frisés et crépus, qui étonnait certains de mes camarades presque ou totalement imberbes.
Un soir, mon père rentrait du boulot, l’air étrange, la mine triste. C’était très rare, car même dans les mauvais jours, il gardait cette bonne humeur qui le caractérisait.
— Y a quelque chose qui va pas ’Pa, lui demandais-je avec inquiétude.
— Non, non, ça va, rassure-toi, je suis juste très fatigué.
Je connaissais mon père et je savais qu’il mentait. J’insistais.
— Tu me caches un truc, et tu nous as toujours dit qu’on devait se dire les choses, même si ça fait pas plaisir.
— Je te promets que tout va bien.
Il prit une profonde inspiration, se tut pendant quelques ...