1. Une gourmandise maladive (1)


    Datte: 07/08/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Voltaria, Source: Xstory

    ... d’autres pour moi mon papounet ?
    
    — Ma chérie tu sais bien que ce n’est pas raisonnable... Tu es là pour guérir...
    
    — S’il te plaît mon papounet, je ferai tout ce que tu veux. Encore une ! Dit-elle en me faisant les yeux doux.
    
    — Alors promets-moi d’appeler ta mère et t’excuser pour les mots que tu as eus à son encontre la fois dernière. Tu sais elle est très malheureuse depuis...
    
    — Oui mon papounet. Promis ! Tout ce que tu veux !
    
    Tout en disant ces mots sa main se rapproche de ma poche de pantalon contenant son met tant attendu. Pour se faire elle frôle mon entrejambe. Ce geste pourtant clairement non voulu me donne un sacré coup de chaud et réveille quelque chose en moi. Alors que je lui donne une nouvelle sucette à la fraise, je me surprends à la détailler pendant qu’elle suce avec délectation ce bonbon.
    
    Magalie est ronde, très ronde. Elle a joli visage de poupée. Ces rondeurs lui confèrent une énorme poitrine que je n’avais jamais remarquée. Ou du moins pas de cette façon. Je remarque que le plaisir qu’elle ressent en mangeant cette sucrerie lui fait pointer les tétons au travers de la simple chemise de nuit que le centre lui a fournie. Une image me traverse l’esprit. Je m’imagine la tête fourrée dans cette opulente poitrine.
    
    J’ai dû rester figé sur ces seins plus longtemps que je ne l’aurais souhaité car Magalie l’a remarqué et me demande pourquoi je la regarde comme ça. Surpris, je lui réponds en bégayant qu’elle est très belle, que c’est une très ...
    ... jolie jeune femme.
    
    Magalie croque dans le reste de la sucette qui lui reste en bouche.
    
    Elle se retourne vers moi et m’observe avec un regard différent qu’à son habitude et un sourire en coin.
    
    — Ce sont mes seins qui te plaisent à ce point mon papounet ?
    
    Elle joue avec sa langue et le bâtonnet de la sucette tout en continuant de me fixer d’un air aguicheur.
    
    — Tu peux les toucher si tu veux mon papounet. Je laisse parfois un cuisinier les toucher pour avoir du rab à la cantine. Mais toi, les sucettes que tu m’as ramenées sont bien meilleures. Je te ferais tout ce que tu veux pour en avoir d’autres.
    
    Je secoue la tête, choqué par ses propos et m’écarte d’elle.
    
    Elle me rattrape aussitôt par la main, se rapproche et pose ma main sur son sein gauche.
    
    Mon sang ne fait qu’un tour. Le contact avec ce sein me rend fou. Je ne peux plus réfléchir mon autre main attrape son sein droit.
    
    Je me mets à malaxer ces deux gros obus. Magalie en profite pour glisser sa main dans ma poche de pantalon, et tout en frottant mon entrejambe, me substitue la dernière sucette.
    
    Je lui arrache des mains et lui ordonne d’enlever sa chemise de nuit si elle veut pouvoir se délecter de cette friandise. Celle-ci s’exécute sans rechigner. Elle passe sa chemise de nuit par-dessus sa tête, dévoilant ainsi l’objet de ma convoitise. Magalie est maintenant en culotte devant moi. Elle replie ses bras sur ses seins pour les cacher.
    
    — Donne-moi ma sucette et tu pourras faire tout ce que tu ...