1. Une gourmandise maladive (1)


    Datte: 07/08/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Voltaria, Source: Xstory

    Ma belle-fille, que j’élève comme ma fille depuis le décès de son père, a toujours eu un problème avec la nourriture. PETITE, elle était déjà gourmande. Mais très vite c’est devenu plus problématique. Magalie mange sans cesse, sans faim et n’importe quoi, avec une préférence notable pour les sucreries. Les différents psys que nous avons pu rencontrer expliquent cela par un besoin de remplir le trou béant qu’a laissé la disparition brutale de son père.
    
    Magalie est maintenant majeure. Magalie est très ronde pour ne pas dire grosse. C’est un sujet de raillerie au lycée. Elle n’a pas d’ami et a développé une phobie scolaire. Avec sa mère nous avons tenté de lui faire l’école à la maison mais l’isolement et l’enfermement n’ont fait qu’empirer les problèmes de Magalie. Elle se gave sans cesse. Nous avons bien essayé de mettre la nourriture sous clé mais elle trouve toujours un moyen et si elle n’en trouve pas, elle part en crise telle une droguée. Il lui faut sa dose de sucre et de malbouffe.
    
    N’en pouvant plus, nous avons décidé de faire interner Magalie dans une sorte de centre désintoxication. Les règles y sont strictes. Nous savons que Magalie y est malheureuse mais nous savons aussi que c’est pour son bien. Magalie n’y a droit à aucun excès. Tout ce qu’elle mange est pesé, vérifié, contrôlé et surtout rationné. Magalie nous en veut terriblement. Elle ne veut plus nous voir. Sa mère, trop contrariée, a décidé de ne pas aller la voir ce week-end. Ma chère femme est ...
    ... dépressive depuis de longues années maintenant. La pathologie de Magalie a eu bien des conséquences dans notre vie. Et même dans notre vie sexuelle qui est bien pauvre depuis que ma chère et tendre prend de nombreux antidépresseurs...
    
    Pour ma part, trop peiné que les deux femmes de ma vie se fassent la tête, j’ai décidé de lui rendre visite, accompagné d’une petite douceur pour mieux l’apprivoiser et la convaincre d’appeler sa mère. Je sais que je ne devrais pas, mais tant pis.
    
    Je me rends donc au centre. Je frappe à sa porte, accompagné de l’infirmière de service. L’infirmière m’annonce. Dans un premier temps Magalie refuse de me laisser entrer. L’infirmière insiste. Rien n’y fait. Je congédie l’infirmière lui disant que je saurais la convaincre. Une fois l’infirmière partie, je frappe de nouveau à la porte et dis
    
    — Ma chérie, je ne suis pas venue les mains vides. Je t’ai pris les sucettes que tu aimes tant, laisse-moi entrer. Je veux te parler.
    
    Ni une ni deux Magalie se rue sur la porte, me fait entrer et referme derrière moi. Sans même me saluer, Magalie me supplie de lui donner ce que j’ai apporté.
    
    Je lui sors une première sucette de la poche de mon pantalon. Elle se jette littéralement dessus et la fourre dans sa bouche. Une fois sa dégustation finie, elle me saute au cou et me fait un énorme bisou sur la joue.
    
    — Oh merci mon papounet ! Si tu savais comme j’en rêvais ! Ici la nourriture est infâme. Nous n’avons jamais droit à des gâteries du genre... Tu en as ...
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