1. Ghislaine, la gourmande !


    Datte: 08/12/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... Répondais-je, sans quitter la vulve des yeux.
    
    Pour m’en offrir un peu plus elle écarta ses poils à deux mains, ouvrant par ce geste ses chairs. Ses petites lèvres m’apparurent, toutes roses luisantes, ainsi que les crêtes mauves qui les bordaient. Ce savant observée, elle repoussait davantage ses chairs, suffisamment pour me permettre de voir le point précis d'où giclait sa pisse. Pour ma part j’en avais fini, sans pour cela la replacer dans mon slip. Elle ne m’en fit pas la remarque, se contentant de battre des paupières.
    
    - Qu'est-ce qui te prend de bander comme ça de bon matin ? Tu as rêvé de moi, ou quoi ?
    
    - Surement, je rêve de toi toutes les nuits.
    
    Son ventre se gonflait par à-coups, elle lâchait ses dernières giclées.
    
    - II ne faut pas tomber amoureux, je ne suis pas une fille pour toi ... et puis, j'ai ma fille, le père de ma fille, tout ça ...
    
    - Je ne veux pas y penser.
    
    Sans essuyer ses poils et ses chairs mouillés de pisse, elle se redressa, la chemise de nuit retomba. Elle bailla et, à pas lents, regagna son lit, ou elle se laissa tomber. Elle rabattit les couvertures sur elle, et ferma les yeux, comme si je n’existais pas. Inquiet de la voir se rendormir, je proposais de lui apporter son petit déjeuner au lit. Elle rouvrit les yeux.
    
    - C'est gentil, si tu peux me faire un thé, et essaye de ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller la petite ...
    
    Je m’affairais avec précaution dans la cuisine, revins quelques instants plus tard avec en ...
    ... mains un plateau chargé avec deux tasses et tous le nécessaire pour bien déjeuner. A ma vue, elle se redressa, l'air réjoui, alors que j’installais le plateau sur ses cuisses.
    
    - Tu es comme un petit mari pour moi. Me fit-elle en fronçant les sourcils.
    
    Je devais avoir tellement un air si grave qu'elle éclata de rire. Après avoir bien déjeuner son regard se porta sur la pendule, se secoua d’un coup.
    
    - Déjà dix heures ! Je vais faire ma toilette, tu m'attends là ?
    
    - Non, je viens avec toi.
    
    -Comme tu veux, me répondait-elle en sautant du lit pour rejoindre de nouveau la salle de bains, où elle dosa l'eau dans le lavabo, avant de décrocher d'un fil deux gants de toilette, un rose, un vert. Après avoir soigneusement savonné le premier, elle se le passa énergiquement sur la figure. Sur-ce, elle lança.
    
    - ça va mieux, ça réveille.
    
    Saisissant sa chemise de nuit par l'ourlet, elle la fit passer par-dessus sa tête, apparut nue. Penchée sur le lavabo, elle savonnait le gant rose en faisant bouger ses seins et ses fesses. La tête tournée vers moi, elle me demanda.
    
    - Alors, ça t'intéresse toujours, ma toilette ?
    
    - Plus que jamais !
    
    Jamais, je n'aurais pensé que cela pourrait m’arriver. En me guettant du coin de l’œil, elle se savonnait sous les bras. Ses poils disparaissaient sous la mousse. On aurait dit qu'elle faisait exprès de faire bouger ses seins, qu’elle savonna aussi, en insistant sur les mamelons, qu'elle tordait et qui se redressaient vivement comme des ...