Ghislaine, la gourmande !
Datte: 08/12/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
Le dimanche matin, je me rendis chez elle, où je la savais seule, enfin en compagnie du bébé toujours endormi. En quittant mes parents, j’annonçais que j’allais voire les potes pour faire un tour au marché. Un sourire me vint aux lèvres en franchissant la porte d’entrée, je ne mentais qu’à demie en un sens, c'était bien voire un ami.
Et j’y serais bien allé tous les jours, voire cette amie là. La porte d'entrée n'était pas verrouillée, je la poussais, et je m’avançais dans le couloir. J’entendais remuer du côté de la chambre. Je me permis d’ouvrir la porte, sachant très bien qu’elle ne m’en voudra pas de l’avoir fait.
- J'étais sûre que c'était toi, entre !
Assise dans son lit, près de sa lampe de chevet qui diffusait la douce lumière jaune. A son allure j’étais un peu près sûr qu’elle venait de se réveiller. Ses cheveux défaits, lâchés dans le dos, ses cernes sous les yeux, ses traits encore bouffis de sommeil la rendaient plus fragile, plus désirable. Je fus tenté de la rejoindre dans son lit. Mais déjà, elle se levait. Passant près de moi, fagotée dans une chemise de nuit en toile grossière, elle me tapotait la joue.
- Tu es bien matinal, aujourd'hui... excuse-moi, je vais aux toilettes.
- Je t'accompagne.
Derrière la porte qui abritait le coin toilette, elle jeta un coup d’œil à son image dans le reflet du miroir.
- Je suis à faire peur, moi, je vieillis à vue d’œil.
Nos yeux se croisèrent dans le miroir.
- Tu veux me laisser ? Il faut que ...
... je pisse.
- Moi aussi, j'ai envie. Répondais-je en faisant glisser le zip de la fermeture Eclair de ma braguette. Et comme si j’étais seul je sortis ma queue déjà raide que je plaçais au-dessus du lavabo. Ghislaine eut un petit rire en relevant sa chemise de nuit.
- C'est pour me montrer ton truc que tu es venu si tôt ?
Ne sachant quoi répondre je gardais le silence, préférant l’observer dans le reflet du miroir. La chemise relevée sur ses hanches, elle reculait vers le siège des toilettes. Les poils en désordre couvraient sa fente. En s'asseyant, elle les gratta sans gêne.
- Tu te rinces l’œil, hein mon cochon ? Tu n'as pas du tout envie de pisser dis-moi ?
-Il faut que ça vienne.
Il avait fallu que je me force pour enfin voir surgir de mon méat un jet de pisse s'éleva en parabole avant de retomber en crépitant dans la vasque. Je lui lançais un regard de défi.
- Alors tu vois bien que j’avais envie !
Les traits du visage de Ghislaine se figés, alors qu’elle deux doigts en fourchette au-dessus de sa fente pour écarter ses poils, puis se soulagea. Un jet puissant qui frappait énergiquement l’eau au fond de cabinet. Cela me rappelait les vaches de la ferme d’oncle Alphonse. Je pris l’initiative de tourner la tête pour observer sa chatte pisser. Elle s'y attendait, je dirais même qu’elle le souhaitait, vue le sourire qu'elle esquissait.
- Ce n’est pas bien de regarder les dames, comme ça, petit vicieux. Ça te plait ?
-C’est tellement beau à voir. ...