1. Sortir à tout prix


    Datte: 07/08/2018, Catégories: f, jeunes, bain, jardin, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, init, confession, Auteur: Paulinette89, Source: Revebebe

    ... apaisant, un court instant j’oublie la situation hors normes dans laquelle je me suis mise volontairement. Les mains sur les hanches, je pivote sur moi-même, observant mon environnement avec une certaine méfiance je dois bien le dire, mais également avec ce sentiment béat indescriptible. Je ne peux m’empêcher de pouffer toute seule, mais qu’est ce que je suis en train de faire ?
    
    Je remonte la rivière jusqu’à trouver une grosse pierre plate au bord de l’eau sur laquelle je m’assois. Je trempe mon gros orteil, brrr, elle est glacée. Je ne sais pas si c’est la fraîcheur de l’eau ou la situation dans laquelle je me trouve, mais je ne peux m’empêcher de frissonner. La lune au-dessus de moi baigne mon corps nu dans sa lumière froide et blanche, je me sens plus vulnérable et exposée que je ne l’ai jamais été. Je me sens indécente, mes petits seins pointent honteusement tandis qu’une douce chaleur commence à m’envahir.
    
    Presque involontairement je commence à me caresser les seins, je ferme les yeux, j’imagine que la lune est un gigantesque spot qui illumine mon corps nu pour un public conquis. Je me vois telle une star du X, dévoilant tout à des milliers de paires d’yeux affamées, cachées dans le noir. Je veux les choquer, les impressionner ; qu’ils me désirent. Je veux être le centre de l’attention, juste une fois dans ma vie. Je m’allonge sur le roc froid et inconfortable, ma main droite descend sur mon ventre, lentement mais inexorablement, enfin j’atteins ma toison. Je ...
    ... relève les jambes, les pieds bien à plat calés sur le roc, j’ouvre en grand et me concentre sur mes sensations, je profite de l’instant.
    
    Le vent tiède caresse mon corps tout entier, je souris à la lune qui me regarde, moi la femme fatale, totalement exposée. Je devrais être terrorisée, mais je ne le suis pas, au contraire, j’ai envie de me toucher, le désir l’emporte sur ma raison, je ne suis plus capable de penser rationnellement. Ma main qui s’était un instant reposée reprend vie, je joue et caresse négligemment mes poils pubiens, remonte sur l’intérieur de mes cuisses, et reviens sur mon sexe encore. Que j’aime ces caresses, quel délice de douceurs !
    
    Lentement mon majeur se fraye un chemin entre mes cuisses et remonte le long de ma fente, je suis trempée, ça ne me surprend pas tant que ça, je souris intérieurement. Je remonte encore un peu, sous mon doigt un clitoris gonflé d’orgueil est sorti de sa cachette, quelques tournoiements joliment orchestrés diffusent dans mon bas-ventre ces sourdes décharges de plaisir capable de m’amener à l’orgasme en quelques secondes. Je m’interromps, reprenant mon souffle, je n’ai pas l’intention de jouir aussi vite, même si mon corps tout entier le réclame avec force, non ! Il faut attendre, me faire attendre. Je quitte cette zone trop sensible et reviens plus au centre, avec science et délectation, je me pénètre. Le plaisir est plus diffus, mais non moins agréable, majeur et index de concert viennent et repartent, la paume de ma main ...
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