1. Sortir à tout prix


    Datte: 07/08/2018, Catégories: f, jeunes, bain, jardin, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, init, confession, Auteur: Paulinette89, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent : Pauline est contrainte de dormir sous la tente dans le jardin de ses parents en attendant la fin des travaux dans sa chambre que son ambitieux père a commencés. Par accident elle découvre les joies de la nudité en liberté et expérimente nuit après nuit sa nouvelle addiction.
    
    La nuit suivante, assise au pied du noyer, je fixe mon nouvel objectif : en contrebas de la route qui passe devant la maison et qui s’enfonce ensuite dans le parc, coule un petit ruisseau. Ce soir, j’irai m’y tremper les pieds. Ce n’est en fait pas très loin, mais ça nécessite de franchir une barrière psychologique : c’est carrément plus chaud de se retrouver nue dans un lieu public que dans son jardin. J’avoue que la perspective de cette expédition m’a excitée toute la journée. En plus, je sens qu’en m’autorisant à quitter les limites du jardin, je m’ouvre une foule de nouvelles possibilités : je peux potentiellement me déshabiller n’importe où pourvu que j’en trouve le courage. Cette pensée m’étouffe et me terrifie et je réalise tout juste que mon addiction pourrait facilement devenir incontrôlable si je n’y prends pas garde.
    
    Quitter la relative sécurité de la maison et du jardin n’est pas seulement un problème de barrière psychologique cependant, il y a un vrai risque, et ce risque augmente à chaque pas que je fais loin de la maison et de mes vêtements. Je vis dans une petite ville tranquille, un peu trop parfois, on a d’ailleurs l’habitude de plaisanter sur le ...
    ... fait que tout ferme à 21 h. Cela dit, je n’ai aucune certitude qu’il n’y aura personne à se balader, même en plein milieu de la nuit. Je ne peux pas vraiment prétendre connaître tout le monde en ville, ou que tout le monde me connaisse, néanmoins, les chances sont assez élevées que si je suis prise sur le fait, ce soit par quelqu’un qui me reconnaisse. C’est un des paradoxes quand on vit dans une petite ville, on est beaucoup moins anonymes que lorsqu’on est entourés par les habitants d’une grosse agglomération.
    
    Au bout de quelques minutes, je finis par trouver le courage de me lever et d’aller jusqu’à la grille de notre maison. Je jette un coup d’œil circulaire, prends une grande respiration et ouvre le portail. Je fais un pas… ça y est, je suis dehors, une énorme vague d’excitation s’empare de moi. Les mains tremblantes, je ferme le plus discrètement possible la lourde porte et me retourne. Personne à gauche, personne à droite, sans perdre une seconde de plus, je me précipite de l’autre côté de la route, le bitume sous mes pieds est encore tiède, il a fait une de ces chaleurs cette après-midi.
    
    Je me retourne à nouveau, je ne parviens pas à croire ce que je suis en train de faire, c’est pourtant bien la maison que je vois, et moi je suis dehors en tenue d’Ève ! Un délicieux frisson me parcourt. Sans plus attendre, je descends le talus jusqu’au petit ruisseau en contrebas. À cette saison, il y a peu d’eau, il s’écoule tout doucement avec un léger clapotis, c’est tellement ...
«1234...»