Le projet artistique (55)
Datte: 07/12/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... mamelons. Elles tressaillirent puis plaquèrent nos bouches contre leurs seins. Nous fîmes tomber leurs habits pour les laisser en collants et culotte. Nous nous mîmes à genoux devant elles et tirèrent vers le bas ce dernier rempart. Des toisons brunes très fournies se révélèrent à nous. La sueur due aux heures dans la boîte avait parfumé leurs poils. De la mouille s’y était récemment ajoutée, laissant échapper un parfum puissant, mais non moins attirant. Nous les fîmes se rasseoir et nous commençâmes un cunnilingus.
— Mais, non, mon mari ne fait pas, non, oui, oui.
Ce fut plus ou moins ce que dirent les trois femmes quand nos langues titillèrent leurs clitoris. Leurs poils étaient quand même un peu gênants, cela me chatouillait le nez. Elles nous firent tourner encore une fois, nous faisant passer de l’une à l’autre. La Brigitte à lunettes avait le goût le plus musqué, celle sans lunettes était presque sucrée et la brune mouillait le plus. Elles jouirent sous nos coups de langue assez vite quand même. Nous nous relevâmes et vîmes les trois femmes échevelées, reprenant leur souffle. Cela devait faire un moment qu’elles n’avaient pas joui aussi fort, voire pas joui du tout. Nous bandions toujours devant elles. Elles se regardèrent et se décidèrent toutes les trois. Elles se tournèrent et se mirent à genoux sur la chaise, offrant alors leurs croupes à nos désirs de mâles. Leurs culs un peu gros, un peu flasques avec de la cellulite nous donnèrent quand même envie. Nous ...
... présentâmes nos queues devant leurs chattes poilues et baveuses.
J’agrippai les hanches et le gras de ma Brigitte brune et la pénétrai. Elle couina comme couinèrent ses collègues. Mais elle rajouta :
— Oh mon Dieu. Oh mon Dieu.
J’entamai alors de profonds va-et-vient pour bien lui faire sentir toute la longueur et le diamètre de mon sexe. Elle soufflait, râlait sous mes assauts. Elles ne voulurent pas changer cette fois ou n’y pensèrent, tant elles prenaient leur pied. L’interdit, la fougue de nos jeunes bites, l’alcool y étaient sans doute pour quelque chose. J’écartai et malaxai ce cul qui m’était offert. Brigitte sans lunettes poussa soudain de petits cris suraigus. Bertrand lui avait mis un doigt dans le cul ! Ses collègues en voulurent autant. J’introduisis alors mon index dans les fesses de Brigitte la brune. Elle soupira et gémit fortement, mais ne se déroba pas. Brigitte à lunettes, elle, semblait même aller au-devant du doigt inquisiteur. Finalement, elles jouirent toutes les trois dans un concert assourdissant de cris et de râles. Nous nous vidâmes dans les chattes que nous baisions depuis un moment. Elles mirent quelques instants à se remettre de leurs émotions.
Elles prenaient aussi conscience de ce qu’elles avaient fait. Et du plaisir qu’elles y avaient pris. Elles commencèrent même à pleurer sur leur sort, sur le fait que leurs maris allaient demander le divorce, etc.
— Vous ne risquez pas le divorce si vous n’en parlez pas. Nous nous tairons de ...