1. Le projet artistique (55)


    Datte: 07/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... plaisir quand je le massai doucement.
    
    Elles poussaient un peu loin le flirt que nous avions débuté. Mais elles étaient un peu les maîtresses du jeu. C’était à elles d’aller aussi loin qu’elles le voulaient. A un moment, leur âge se fit tout de même sentir. Elles voulurent partir de la boîte. Dehors, devant l’établissement, elles se tournèrent vers nous et prirent possession de nos lèvres. Je pensai alors que c’était un baiser d’adieu. Mais elles s’attardaient avec nous. François leur fit alors une proposition dangereuse :
    
    — Je n’habite pas très loin. Quelques minutes à pied. Voulez-vous venir prendre un dernier verre dans mon petit studio ?
    
    — Ce n’est pas très raisonnable, se défendit mollement Brigitte à lunettes.
    
    — Aller Brigitte. On y va ! la poussa Brigitte sans lunettes.
    
    — Oui, on s’amuse trop.
    
    Les deux Brigitte convainquirent la troisième. Nous nous dirigeâmes donc vers le studio de François. Chaque Brigitte se collait à son cavalier, elles nous faisaient parfois arrêter pour nous embrasser encore et encore. François nous fit entrer et nous proposa une bière. La troupe sirota sa mousse un moment. Nous avions une main tenant notre breuvage et l’autre occupée à tâter les atouts de ces dames : seins, cuisses, fesses. Elles avaient elles-mêmes pris nos mains pour les y déposer. Elles ne se gênèrent pas pour palper nos virilités. Lorsque les bières furent bues et qu’elles auraient dû partir chez elles, elles se tournèrent vers nous et nous embrassèrent. ...
    ... Elles défirent nos braguettes et sortirent nos sexes pour nous branler. On pouvait sentir les années d’expérience derrière ce geste. Lorsque ma bite prit tout son volume, ma Brigitte s’exclama :
    
    — Mon Dieu quel pieu !
    
    Les deux autres voulurent voir de plus près et touchèrent aussi mon engin. Elles s’extasiaient toutes les trois devant ses proportions. Elles n’en perdirent pas de vue que mes amis étaient là et leur demandèrent de nous mettre tous les trois debout devant elles. Elles s’assirent sur des chaises et commencèrent à nous pomper. Là, je sentais beaucoup moins de maîtrise de leur part. Bien qu’au fil de va-et-vient, elles reprirent certains automatismes perdus avec le temps. Elles nous firent passer de l’une à l’autre. C’était surtout pour qu’elles puissent toutes goûter à ma colonne de chair. Elles nous laissèrent là après un moment. Elles commencèrent à ôter chemisier, jupe ou robe. Mais nous leur dîmes que nous allions le faire. Nous les complimentâmes une nouvelle fois sur leur charme. Elles nous dirent qu’elles étaient vieilles et grosses. Oui, leurs grossesses avaient laissé des traces. Oui, elles étaient sans doute plus rondes que dans leur jeunesse.
    
    Mais elles avaient su se mettre en valeur ce soir-là. Elles furent touchées par tous nos compliments et se laissèrent faire. Leurs seins un peu tombants apparurent, elles eurent un geste de pudeur en voulant les cacher de leurs mains. Mais nous les devançâmes en y déposant nos lèvres et en suçotant leurs ...
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