Une bien belle fin de soirée
Datte: 05/12/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: XYaimeXX, Source: Xstory
... de tout son long dans un baiser qui ressemble une morsure ; elle gémit, semble se débattre, tente de dérober ses lèvres, mais Robert a la force pour lui ; il frotte son ventre contre le sien, dans une ondulation lente et le baiser se prolonge. J’ai l’air un peu con, mes clefs à la main, et je me demande s’il ne va pas la prendre sur le capot... Robert dégage ses lèvres brusquement et dans un chuchotement précipité, il me lance d’une voix hachée :
« Tiens-lui les mains !».
Je m’exécute lentement. Je m’approche de Claudia, mon ventre contre sa hanche droite, mon visage à quelques centimètres du sien et je lui saisis les poignets, toujours plaqués sur le toit de la voiture. Je cherche ses yeux ; ils sont fermés ; sa bouche est entrouverte sur un gémissement qui ressemble à une mélopée et un petit bout de langue rose pointe entre ses dents. Fébrilement, Robert retrousse jusqu’aux hanches sa robe noire moulante et fendue. Effectivement, elle a des bas, mais pas de slip. Sa toison noire touffue et bouclée m’apparaît, ponctuant d’un triangle net son ventre plat et ses cuisses lisses.
Elle écarte un peu ses jambes : elle est consentante la salope, elle aime ça. Alors je m’enhardis et je pose mes lèvres sur les siennes. Ce n’est pas un baiser, c’est un typhon : avec violence, elle projette sa tête vers moi et aspire, aspire, aspire, mes lèvres, ma langue, mes moustaches ; elle salive énormément et sans cesser de gémir elle me consomme avec avidité. Robert m’arrache à ...
... l’étreinte et m’ordonne :
« Vas-y, baise-la ; mets-lui ta queue entre les cuisses !»
Et pour être plus sûr du résultat, il déboutonne mon pantalon et cherche lui-même l’instrument dans mon slip. Je me laisse faire avec plaisir et il ne doit pas être déçu : depuis ce baiser goulu, je bande comme un cerf.
Pourtant je refuse :
« Je voudrais la lécher avant !».
C’est une sorte de rituel pour moi, qui participe au sentiment de possession : il me faut l’explorer des yeux, des doigts et des lèvres avant de baiser une femme. Je trouve que c’est perdre un trésor que de s’en passer.
« Alors lèche-la si tu veux, vas-y. Elle est à toi, je te l’offre. Fais lui tout ce que tu veux !».
Robert lui soulève la cuisse gauche pour écarter d’avantage ses jambes et, me prenant par la nuque, il guide ma tête avec force vers le ventre de Claudia. Lui aussi a ouvert son pantalon et a sorti sa queue : elle est fine et longue avec un gland pointu ; il se branle doucement et recule d’un pas pour jouir du spectacle. Je m’accroupis et plonge ma bouche vers la chatte de Claudia : elle est trempée, chaude, entre sucrée et acide, ourlée de nymphes brunes ; du bout de ma langue, je sens son clito dur et souple et cet effleurement lui tire une modulation prolongée. Ma main gauche explorant ses fesses, je me décalotte doucement de la main droite, attentif à mes sensations pour contrôler mon plaisir. Claudia a posé ses mains libérées sur ma tête et la presse contre elle en saccades pour me donner le ...