1. Alicia et son papa (23)


    Datte: 05/12/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... son cul et sa bouche. Elle a interdiction de jouir. Tu seras libre d’honorer son vagin, si tu le souhaites.
    
    — Il n’en est pas question. Si tu me la cèdes, je l’enculerai ou me ferai sucer. Un bon dressage passe par la contrainte et l’humiliation.
    
    C’est pas vrai, encore un monomaniaque sodomite ! Je sais bien que j’ai loupé quelque part le prince charmant, mais quand même ! Je tombe sans arrêt sur des vicieux qui veulent juste mon cul. Ça changerait si je rencontrais enfin un homme qui aurait à cœur de me faire jouir, qui me ferait l’amour avec tendresse... Ouais, c’est pas demain la veille, apparemment.
    
    — Et au fait, tu as joui combien de fois, aujourd’hui ? s’enquit mon père.
    
    — Aucune, Monsieur, répondis-je en rajustant ma robe.
    
    — Mais hier, ce n’a pas été le cas. Va chercher le paddle, Ali.
    
    — Mais... Oui Monsieur.
    
    Mon Dieu, il allait me battre devant Raul, avant d’aller au restaurant. Tête basse, je pris le paddle rangé à sa place et revins aussi vite que possible dans le salon. Je le tendis à papa en arborant un air suppliant. Pourtant, je savais bien que ça ne servirait à rien. Il me fixa d’un air sévère.
    
    — Ali, tu ne vas pas me faire honte devant un invité. Tu t’agenouilles et tu te plies sur la table basse après avoir relevé ta robe. Je t’avais avertie que tu serais punie, tu te souviens ?
    
    — Oui Monsieur.
    
    — L’heure est venue ...
    ... de payer. Je ne veux pas que tu cries ni que tu bouges. Sinon, je reprends la punition à zéro. Vingt coups de paddle sur les fesses, ça te convient ?
    
    — Oui Monsieur.
    
    — Alors, à ton avis, je frappe avec quelle force ?
    
    — Comme il vous plaira, Monsieur.
    
    — Bonne réponse. Dix coups forts, dix très forts. Et je te rappelle, aucun cri, aucun mouvement, sinon...
    
    Je tremblais à cause de peur en m’installant. Les mains à plat devant mes yeux déjà embués, je sentais l’appréhension monter. Raul ne disait rien, il m’examinait avec un sourire aux lèvres. Il me jaugeait, attentif à mes réactions, à ma frayeur, et devait déjà s’imaginer me punir à son tour. Le premier coup me prit par surprise et je poussai un cri aigu. Vite réprimé, trop tard.
    
    — Celui-là ne compte pas. Disons que c’était un essai.
    
    Ce n’est pas juste !
    
    Je serrai les poings et tentai de me décontracter. Facile à dire ; le coup suivant percuta avec violence mes lombes et je restai stoïque. Papa enchaîna ; il frappait fort, comme il l’avait annoncé. Il marqua une pause pour m’annoncer qu’il en était à la moitié, je soupirai, les joues sillonnées de larmes. La punition reprit, plus violente, et j’éclatai en sanglots avant la fin. Mais je restai immobile ; j’avais résisté.
    
    — File nettoyer ton visage, ordonna mon père, ton maquillage a coulé. Pas la peine de le refaire, je te préfère nature. 
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