1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1533)


    Datte: 05/12/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... vrai soumis puisque mon père et ma mère l’étaient instinctivement, par leur propre Nature servile. Plongé dans mes pensées, je n’avais pas entendu mon téléphone biper, pourtant un sms m’attendait :
    
    - Tu seras au Château, cette après-midi à 18 heures, tu te libères pour 24 heures. Le Maître.
    
    Instinctivement je regardais ma montre. J’avais peu de temps pour me préparer, je filais sous la douche après avoir répondu à ce texto par un « A votre convenance Maître. Votre esclave ». Sous l’eau chaude éclaboussant mon corps, mon mental ne suivait pas, mes méninges n’acceptaient pas encore entièrement la déchéance et l’effondrement alors que mon corps se réjouissait de ces plaisirs abjects, ma queue s’enflammait dans cette satanée cage de chasteté ! Il n’y avait plus d’interconnexion entre mon psychisme et mon physique. Mon cerveau était en vrac alors que mon corps pavoisait. J’étais tiraillé par le dégoût et la convoitise ! Toujours était-il qu’à 18 heures précises, j’entrais au Château, je me dévêtis dans ma voiture et regagnais ma cellule. Walter était là, semblait m’attendre, avec en ses mains mon collier qu’il me posait immédiatement autour du cou, une cravache dans l’autre main. Surpris, je l’étais lorsqu’il ôtait ma cage de chasteté puis m’attachait les mains dans le dos par un court cordage en coton. Sans précaution particulière, il se saisissait de mes couilles, les empoignait fermement et m’entrainait ainsi derrière lui, emmené par les couilles jusqu’au bureau de ...
    ... Monsieur le Marquis.
    
    - Bonjour alexsoumis !, me lançait le Noble
    
    - Bonjour Maître, répondis-je tout en baissant la tête par pure soumission.
    
    - Qu’attends-tu pour venir te prosterner à Mes pieds.
    
    Tête basse, le sexe droit comme un « I », je m’agenouillais à bonne distance pour qu’une fois incliner, ma bouche soit en contact direct avec ses mocassins. Ma langue s’activait sur l’une et l’autre de Ses chaussures jusqu’au moment où je sentais la main du Maître prendre mon collier pour que je me redresse.
    
    - Retourne-toi salope, que je te libère les mains !
    
    A cet instant, tout en me mettant à quatre pattes, les reins cambrés, mes cuisses écartées, mon anus, mes attributs sexuels offerts au regard du Châtelain, j’entrapercevais un autre jeune soumis, près de la porte d’entrée du bureau. Je ne l’avais vu en arrivant ici. Il était terriblement contraint par une conception robuste ressemblant à un pilori, avec des entraves pour les poignets, les cuisses et un trou pour la tête, le tout verrouillé par un simple cadenas. Ce jeune soumis, un jeune homme d’environ mon âge, blond, musclé, parfaitement glabre était ainsi parfaitement exposé à tous regards, couché sur le dos, dans une position éhontée, les jambes tenues relevées, cul en l’air, laissant un parfait accès libre à son anus et à ses parties génitales. Avec ces entraves verrouillées qui l’enserraient fermement, il ne pouvait se soustraire à cette exhibition impudique et totalement immorale.
    
    - Tu vois ce qui arrive à ...