1. Bienvenu à la maison (1)


    Datte: 05/12/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Edvard, Source: Xstory

    ... ma verge de sa prison et qu’elle tombait lourdement entre ses fesses, elle se mit à frémir, haletante. Après avoir baissé sa culotte, saisissant ses reins d’une main, et mon sexe de l’autre, j’entrepris de profiter de ces dernières secondes de lucidité pour la faire agoniser de désir.
    
    Je fis glisser mon gland le long de ses lèvres intimes, lentement, en insérant mon membre palpitant d’un centimètre avant de repartir. Désespérée, elle tentait de me faire venir en elle en lançant son bassin en arrière, mais je contrecarrais ses plans en me reculant et en lui refusant ce plaisir. N’y tenant plus, elle me lança un regard suppliant et s’exclama « Baise-moi, je t’en supplie ! ».
    
    Je la pénétrai d’une traite, comblant tout le vide de son sexe brulant et trempé. Elle gémit de soulagement. Lentement, je me retirai, en tenant fermement son bassin, puis à nouveau, je m’enfonçai en elle, lui tirant un nouveau couinement de plaisir. J’avais une vue incroyable sur ses reins, et son bassin cambré me laissait voir l’entièreté de sa chatte, complètement offerte. Je pouvais voir mon chibre couvert de mouille qui était comme aspiré par l’intérieur de cette grotte torride. La levrette me donnait un accès si direct et si profond à son ventre que je devais me contenir pour ne pas ravager le fond de son ventre moite. Alors que je commençais à augmenter la cadence et la force de mes coups de reins, que ma queue s’enfonçait encore et encore en dilatant son vagin étroit, elle mordait les draps ...
    ... pour contenir ses gémissements. Chacun de mes coups de bite claquait contre ses fesses et la secouait entièrement.
    
    Inlassablement, je la bombardais, agrippé à ses reins, dans un corps à corps explosif et bruyant. Des torrents de mouille ruisselaient entre ses cuisses et ponctuaient chacune de mes pénétrations par un claquement mouillé.
    
    Profitant d’un ralentissement de cadence temporaire, je m’inclinais sur elle pour agripper ses seins, en continuant un rythme de pénétration soutenu. Se redressant sur ses coudes, elle tourna le cou pour m’offrir ses lèvres. Ce genre de baisers passionnés m’enflammaient à nouveau, et je recommençais à la pilonner sauvagement, et ses râles de plaisir rompirent le contact entre nos bouches. En me regardant droit dans les yeux, toujours en reculant avec force son bassin pour s’empaler sur moi, elle me dit avec une voix enrouée « Je veux que tu jouisses au fond de moi ».
    
    C’en était trop pour moi. Je relâchai toutes mes barrières, me libérai du peu de retenu qui me restait et commençai à la pénétrer de toutes mes forces. Je me concentrai exclusivement sur les sensations de son vagin brulant qui enserrait mon sexe, comme une ventouse qui m’aspirait en elle et qui se contractait autour de mon membre à chaque aller-retour. Elle tendit une main en arrière pour m’encourager et m’accueillir encore plus profond, comme un assentiment, une bénédiction, pour la ravager comme bon me semblait. Elle ne contenait plus ses gémissements, et je la voyais elle ...
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