1. Bienvenu à la maison (1)


    Datte: 05/12/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Edvard, Source: Xstory

    ... fois et qui lui donnait une aura surnaturelle. Elle était frêle et déjà tremblante d’excitation. Son parfum me frappa de plein fouet et me mit dans un état de frénésie incroyable, un mélange de cette odeur féminine que je reconnus immédiatement et d’autres choses, musqué et sensuel. Toute la tension qui s’était accumulée au cours des derniers mois et dont je pensais qu’elle avait atteint son indubitable sommet fut encore multipliée par mille quand je croisai son regard. Je vis le feu dans ses yeux, et je pus confirmer tous mes soupçons sur son état de trac et de désir. Le temps se figea, alors qu’aucun d’entre nous ne se décidait à rompre le silence.
    
    Une fraction de seconde plus tard, dans un claquement, nous nous jetâmes l’un sur l’autre. Elle sauta dans mes bras, et pendant que je la soulevais dans les airs, je rentrai dans l’appartement, claquai la porte et la plaquai contre le mur. Nos lèvres se cherchèrent frénétiquement, et leur rencontre déclencha en nous un gémissement étouffé de soulagement. Je partis à l’attaque de sa bouche qui me rendit mes baisers avec avidité. Elle avait les yeux fermés, ne profitant que de brèves respirations pour contempler l’excitation dans mon regard, avant de replonger dans notre corps à corps passionné. Nos esprits étaient exclusivement concentrés sur les sensations provoquées par ce baiser, enivrés par nos parfums entremêlés. Je sentais sa langue jouer avec la mienne, m’attirant à elle pour me mordre, jouant avec moi comme je jouais ...
    ... avec elle.
    
    Très vite, je ressentis le besoin de la toucher, de l’agripper, de la posséder. Je saisis ses fesses à pleine main, utilisant ce prétexte pour serrer son bassin sur ma verge. Elle dut en sentir toute l’ampleur contre son sexe puisqu’elle gémit et frémit à ce contact. Dans une vaine tentative pour accroitre encore l’intensité de cette réunion à travers le fin tissu de sa culotte, elle leva une jambe et la glissa le long de ma hanche, exposant encore plus son intimité à la bosse palpitante de mon désir. J’en profitai pour la soulever, comme une plume, en soutenant ses fesses, le bout de mes doigts au bord de son antre, à la limite de s’y glisser et de la pénétrer par-derrière. Tout en continuant de me dévorer la bouche, elle joignit ses pieds dans dos et profitât de la fermeté de ma prise pour onduler son corps à moitié nu, offert et chaud contre mon érection. Du bout de mes doigts, je sentais les prémisses de cette humidité qui imbibait son entrejambe.
    
    Tout en la tenant fermement contre moi au-dessus du sol, je naviguai au jugé dans l’appartement, comme ivre, en direction de notre chambre. Je renversai sans même faire attention le mobilier sur notre passage, jusqu’à atteindre notre lit, sur lequel je la jetai à quatre pattes sans aucun ménagement. Haletante, elle se cambra, m’offrant la vue de sa merveilleuse chute de reins, et me lança un regard enflammé qui signifiait « fais-moi tout ce qui te passe par la tête ». Toujours habillé, je m’installai à genoux sur ...
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