1. Vacances en Mayenne (4)


    Datte: 05/12/2021, Catégories: Zoophilie, Auteur: freddy67, Source: Xstory

    ... s’apercevoir qu’Élie regardait ce qui se passait sous la robe. Elle eut un moment de panique comprenant la situation, et c’est à ce moment précis que Sultan la fit jouir.
    
    Elle lâcha un « AAAAAHHHHHHHHHH ! » En fermant les yeux et Élie put voir deux ou trois jets de quatre ou cinq secondes de son jus s’expulser comme si Clémence pissait son plaisir. Sultan qui s’était reculé revint aussitôt à la charge et se remit à la lécher comme pour nettoyer tout ça. Clémence voulut s’extirper de ce piège, mais Élie la tenait fermement par les fesses et moi par la taille.
    
    — Non ! Non ! Pas le chien ! Je vous en prie !
    
    Mais elle se débattait sans grande conviction et le chien en dessous, faisait bien son travail, car maintenant, Clémence haletait de plus en plus.
    
    — Non : hahhh ! Il ne, faut, pas, aahhh ! Non !, ohhhhh ! C’est pas possible, huuuummmm, non. Je ne dois, paaaas... Ahaahhhh. C’est, hhhuummm...
    
    Elle cherchait à lutter contre le plaisir que lui procurait Sultan. La grange résonnait aussi des cris de jouissance de Mimi :
    
    — AAAhh ! Oui mon chien, aaahhhhh. Tu me fais jouiiirr. Aahhhh, continue de remplir ta maîtresse, aahhh. Je jouis... Ahhhhh, c’est booon...
    
    Le chien derrière elle avait donné un dernier coup de reins avant de s’immobiliser. Et comme hier, Mimi continuait d’exprimer sa jouissance.
    
    — Oui. C’est bien. Vide-toi en moi, vide tout, aaaahhhhhh, encore, aaaaahhhhhhh...
    
    Élie s’était retourné pour regarder la scène avec grand intérêt, Clémence ...
    ... ne se débattant plus. Le golden s’était approché d’elle, mais comme elle était toujours à genoux, il ne put rien faire d’autre que de lui lécher le visage en remuant de la queue. Élie le caressa, mais curieuse, toujours dans la pensée de son pari, passa la main en dessous. Elle la positionna sur le sexe du chien qui avait repris sa place dans son fourreau et commença à le malaxer.
    
    De mon côté, mon sexe encore emprisonné me faisait horriblement mal. J’entrepris de ma main libre de baisser et ôter mes vêtements afin de lui laisser toute l’amplitude dont il avait besoin.
    
    Élie finit doucement par extirper le sexe du chien. En fait, c’était la première fois que j’en voyais un. Tout petit dans son fourreau, il commençait à doubler de volume en dehors. Une hampe tachetée et violacée avec une tête qui se terminait en pointe.
    
    Pendant ce temps, Clémence avait fermé les yeux et avait cessé de lutter contre ses appréhensions.
    
    — Aahhhhhhh, hhuuummmm... Ooohhh. Mon Dieu, c’est trop booonnnn...
    
    Je lui pris la main la plus proche et la posa sur mon sexe tendu. Comme par réflexe, elle s’y accrocha et me masturba.
    
    — Ohhh. J’en peu, pluuuus, aaaahhhh, c’est trop. Booonn, aaaahhhhh. Je viens. Je viens, aaaahhhhhh...
    
    Et plus elle partait, et plus sa main s’accélérait sur mon sexe. Entendre ses deux femmes jouir sous les assauts des chiens faisait monter la sauce rapidement.
    
    Mimi venait de crier son ultime cri de jouissance quand Clémence à son tour se libéra ce coup-ci, ...
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