1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1538)


    Datte: 04/12/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... Marquis savait que je venais de tout donner, alors Il exigeait que je vienne à quatre pattes vers lui, que je lui embrasse les pieds, comme à ses trois amis, puis m’ordonnait de m’installer à plat ventre sur le matelas posé sur une petite estrade.
    
    - Soulève ton cul, cambre tes reins, ouvre tes cuisses, offre-toi, offre-toi toujours, offre-toi en permanence désormais puisque tu m’appartiens corps et âme.
    
    A peine venait-il de finir cette phrase que je sursautais en hurlant et en me tordant de douleur. Je me faisais lacérer le cul, les cuisses et les omoplates par une lanière de fouet plus que mordante. Les coups s’enchainaient sans cesse m’arrachant sanglots et plaintes constantes. Une fois, je tentais de me soustraire à cette ignoble souffrance, mais les coups avaient redoublé d’intensité.
    
    - Ne tente jamais de te dérober à ce que je t’exige ou t’inflige !, me lançait-il
    
    J’étais donc contraint à m’abandonner à Sa Volonté, à accepter tout ce qu’Il me faisait, même le pire. J’essayais de m’agripper à quelque chose, à ce matelas ayant peu de prise, je secouais la tête, tant j’avais du mal à supporter ce qu’Il m’infligeait.
    
    - Non ! Ouvre les mains, ne te débats plus. Je te l’ai dit, tout ton corps m’appartient, donne-le-Moi tout entier, pas juste en te laissant te fouetter le postérieur, pas seulement en Me tendant ton cul, mais en Me l’offrant mentalement avec ton esprit et ton cœur.
    
    Sur le moment, ça me semblait tout à fait irréalisable : Accepter cette ...
    ... souffrance si intensément que je devais Lui en faire spirituellement l’offrande ? C’était simplement impossible, comme il m’était impossible aussi de renoncer à mon engagement gueulé quelques minutes plus tôt. Pris en tenaille, harcelé et assailli de tout côté, mon mental parvenait à prendre le dessus, mon corps vaincu abandonnait et acceptait ce traitement insupportable. Alors, Je commençais à m’abandonner à l’ivresse de la douleur et m’envoler.
    
    - Je suis à Vous Maitre. Tout à vous ! Venais-je de hurler tant il me faisait encore si mal.
    
    - C’est un bon début Mon chien !
    
    Le Châtelain lâchait enfin cet horrible instrument, puis s’accroupit près de mon visage, me soulevait la tête et engouffrait aussi rapidement que brutalement Son membre raide et brulant dans ma bouche. J’étais comblé de sentir Sa grosse Verge épaisse, drue et tendue coulisser entre mes lèvres, fier d’avoir pu l’exciter ainsi en Lui laissant le loisir d’assouvir Ses pulsions de Dominant, heureux quelques minutes plus tard, de me délecter, de déguster Ses sucs chauds et intimes déversés au fond de ma gorge. Pour la première fois, je découvrais réellement mon côté masochiste en pleurant d’ivresse, mon corps tout entier secoué par des spasmes incontrôlables… Peu après, j’étais autorisé à manger et boire rapidement, à soulager ma vessie, puis regagnais ce matelas qui m’était dédié pour la nuit. Sébastien emprisonnait mon sexe, fixait une longue chaine à mon collier qu’il cadenassait à un anneau rivé dans le sol. ...