1. Souvenirs de mon année Erasmus (6)


    Datte: 04/12/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Napelast, Source: Xstory

    ... seins. Je bandais tellement fort que ça m’en faisait presque mal. Mon excitation était telle que je me savais être capable de faire des bêtises et de ne pas me contrôler.
    
    En train de se savonner le corps, elle passa un bon moment à malaxer ses seins dans tous les sens. Je n’en pouvais plus, au diable le défi, je commençai à toucher le bout de mon gland avec mes deux doigts et à faire des va-et-vient. Tout mon corps se préparait à la perspective que mon esprit était en train d’imaginer : baiser cette déesse, là sous cette douche.
    
    Voulant savonner tout son corps, arrivée au niveau du bas-ventre, elle baissa son slip jusqu’à la mi-cuisse découvrant une magnifique touffe taillée en triangle.
    
    Et il ne s’agissait pas de n’importe quelle touffe : une chatte blonde bien fournie, mais entretenue, aussi blonde que des cheveux. Je n’en avais jamais vu de telles. J’ignorais même que ça puisse exister.
    
    Je faillis exploser sans rien pouvoir faire lorsqu’avec ses doigts, elle décolla ses lèvres volumineuses et commença sa toilette intime.
    
    Il n’en pouvait être ainsi. Sans réfléchir plus longtemps, poussé par l’instinct, je me dirigeai vers l’intérieur de la pièce, vers une douche, nu comme un ver, le pénis plus dressé que jamais, comme si de rien n’était.
    
    Mon adorable professeur, tellement surprise par la présence de quelqu’un poussa un cri. Pétrifiée, elle était sous l’état de choc en me regardant. Je pense qu’elle m’avait bien reconnu, mais était incapable d’expliquer ma ...
    ... présence ni comment elle avait pu se retrouver dans cette situation, à poil, se tripotant l’intimité devant un gamin de 20 ans plus jeune qu’elle.
    
    Par réflexe, elle avait essayé de cacher sa poitrine opulente avec ses bras, en vain. Son bras seul ne pouvait cacher ses deux merveilles de mon regard. Le sien, petit à petit, descendit le long de mon corps pour s’attarder sur mon entrejambe. Elle devait aussi se demander comment j’en étais arrivé à être dans cet état-là.
    
    Elle resta fixée, ne pouvant parler. De son autre main, elle essayait de faire remonter son maillot de bain, mais ce dernier s’était retourné et elle n’exerçait pas suffisamment de force pour le remettre à l’endroit.
    
    Moi, je continuais à fixer cette incroyable touffe qui s’offrait à moi. Je me rapprochais d’elle et sans qu’elle puisse y donner aucune résistance, je posais mes mains sur ses hanches. Elle était grande, quasiment ma taille, je pus plonger mes yeux dans les siens. J’y voyais de la peur, elle était tétanisée, et pourtant je ne lui voulais aucun mal.
    
    J’osai un baiser sur ses lèvres sans qu’elle essaie de me repousser ni de l’accompagner. Lentement, ma main vint lui caresser le dos, la nuque, puis les cheveux : j’étais comme au septième ciel. Mon autre main vint effleurer ses fesses, puis oser un contact mou, et enfin plus les masser plus fermement. J’étais en train de toucher le cul de ma prof, celui sur lequel tant d’étudiants avaient déjà dû fantasmer auparavant, l’imaginant à travers ses ...
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