Souvenirs de mon année Erasmus (6)
Datte: 04/12/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Napelast, Source: Xstory
... fasse son heure de piscine.
Apparemment sportive, elle en fit deux traînants jusqu’à l’heure de la fermeture, si bien que nous nous retrouvâmes nous deux seuls dans la piscine. Pour ne pas éveiller les soupçons, je décidai de sortir de l’eau et de me mettre discrètement derrière un mur en guettant sa sortie. J’eus quelques minutes supplémentaires pour l’observer : elle était vraiment gracieuse dans l’eau, une vraie sirène. Le sport devait expliquer sa ligne quasi parfaite. Elle prenait soin de son corps comme il fallait.
Finalement, elle se décida à sortir de l’eau, pour se diriger vers les douches. Le moment était arrivé. Mon cœur battait à 200 à l’heure, par l’excitation, la peur de l’interdit, mais aussi l’attente de savoir ce qu’il allait bien pouvoir se passer. Je la suivais le plus discrètement possible, tentant de ne pas me faire remarquer.
Elle prit sa serviette, son gel douche dans son sac et se dirigea vers la salle de douches. En me rapprochant lentement, je percevais le bruit de l’eau qui commençait à couler. Son corps humide, elle devait à présent commencer à se frotter avec ses mains. Mon imagination travaillait déjà à pleine vitesse, comme mon cœur. Le sang affluait dans mon cinquième membre qui tendait les élastiques de mon maillot de bain.
N’oubliant pas le but de la mission, je devais le retirer au plus vite. S’il lui prenait l’idée de faire demi-tour et qu’elle me voyait en maillot de bain, le défi était foutu.
Mon plan initial était de ...
... rester dans le vestiaire nu, prétextant chercher mes affaires dans mon sac, afin de la surprendre à son retour. Elle pourrait ainsi involontairement, me voir dans mon plus simple appareil.
Déshabillé, nu dans le vestiaire, tout seul donc, j’attendais. Mais, la proximité avec les douches était trop tentante pour rester ici à ne rien faire. Peut-être qu’en me rapprochant un peu, j’aurais la possibilité de mater le corps de ma splendide prof de macro-économie.
Lentement, toujours dans la discrétion la plus totale, je me positionnais juste à l’entrée de la douche, partiellement cachée derrière le mur. D’ici, je pouvais parfaitement voir Katarzyna et pour mon plus grand bonheur, elle avait retiré son soutien-gorge. Incroyable. Mes yeux s’écarquillèrent.
Sa poitrine volumineuse, lourde et ferme pour son âge me fit saliver d’envie. Je n’en revenais pas de voir un tel tableau à quelques mètres de moi. Ses seins ne demandaient qu’à être palpés, ses tétons durcis et rougis par l’eau chaude au centre de ces larges aréoles ne demandaient qu’à être mordillés, sucés à l’infini de mon envie.
Qu’est-ce qu’elle était belle et bandante cette femme ! J’aurais bien aimé savoir ce que ça lui faisait de voir tous ses élèves, la regarder avec envie. Elle ne pouvait pas ignorer que lorsqu’elle mettait un joli décolleté ou une jupe un peu plus courte, ils gardaient l’image en tête pour alimenter leurs plaisirs solitaires dans leur lit le soir.
J’étais fixé sur les larges aréoles de ses ...