1. Nymphomane, moi ? Tome III (7)


    Datte: 03/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... si parmi ses clients, il n’en a pas un laid et gros... me dit Alfred.
    
    — Attends... oui, il en a un qui correspond... en plus il est assez vieux. Veux-tu que je lui dise de l’installer dans le salon à l’écart ?
    
    — Oui, ça pourrait être le pied !
    
    Un quart d’heure plus tard, nous débarquâmes tous les trois dans le restaurant.
    
    — Bonjour Trixie, toujours aussi belle et aussi sexy...
    
    Je lui fis un clin d’œil et j’écartais rapidement ma robe pour lui laisser entrapercevoir ma chatte, glabre.
    
    — Oui, j’avais compris ta demande, me dit-il en souriant, je vous l’ai mis dans le petit salon... vous serez tranquille !
    
    En effet, le monsieur était assis seul à une table, il était comme le désirait Alfred, gros, pas très beau, des lunettes, chauve et assez vieux.
    
    On s’installa à la table à côté, je n’en étais séparée que par 80 centimètres, Alfred s’était assis à ma gauche. Marcel nous servit les apéritifs.
    
    — Servez un apéro à ce Monsieur, s’il vous plaît Marcel. On va pouvoir commercer les hostilités, me murmura Alfred !!!!.
    
    — A votre santé, dit le vieil homme en levant son verre.
    
    — A la vôtre, dis-je, pivotant sur mon derrière et me tournant vers lui.
    
    Le regardant en souriant, j’écartai lentement les jambes, ma robe s’ouvrit sous son regard ébahi, elle découvrit d’abord l’attache de mon porte-jarretelles, la peau nue au-dessus de mes bas blancs, puis elle remonta, tirée par ma main droite et dévoila petit à petit ma chatte imberbe et lisse.
    
    Je le ...
    ... fixai, lui faisant des yeux de velours, passant doucement ma langue sur mes lèvres. Ma robe était grande ouverte, offrant ma nudité à son regard abasourdi. Ma main gauche caressa mon mont de Vénus, puis avec mon majeur et mon index, j’écartai mes grandes lèvres pour lui laisser apercevoir la profondeur rose de mon conduit vaginal, luisant du sperme qu’il avait recueilli, lors de la séance de cinéma.
    
    Ma main droite partit malaxer mes seins au travers de ma robe. Le vieux monsieur ne bougeait plus, le verre figé en l’air, fouillant du regard mon sexe, que ce petit jeu commençait à faire mouiller.
    
    Alfred m’entoura les épaules, il m’attira vers lui, me faisant presque coucher sur son corps. Il me caressa les seins à travers le tissu de ma robe, et sa main gauche se dirigea vers ma chatte. Son majeur frotta doucement ma fente, puis s’insinua entièrement, me tirant un gémissement de plaisir.
    
    Puis de ses deux mains me sortit les seins de la robe, les malaxant doucement, tirant sur mes tétons.
    
    Notre voisin respirait de plus en plus vite, rouge écarlate, il commençait à tressauter sur sa chaise.
    
    — Sors ma queue et branle-moi, dit Alfred.
    
    Tandis que je lui obéissais, il me fit lever, me poussa vers le vieil homme.
    
    — Embrasse-le... c’est comment votre nom monsieur ?
    
    — Jeannot... réussit-il à bredouiller.
    
    Ma bouche se plaqua sur celle du vieux, ma langue força ses lèvres... il se mit à me caresser les seins d’une main tandis que l’autre partait explorer ma chatte, ...
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