Sea, sex and... son (2)
Datte: 30/11/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Bugsy, Source: Xstory
... trinquâmes tous les deux, les yeux dans les yeux.
— C’est toi qui as les clés ; c’est toi qui conduis... Moi, je peux boire !
Cette fois, c’est moi qui posai ma main sur la sienne.
— Maman... tu fais attention, quand même !
Elle me décocha un de ses plus charmants sourires.
— Mais oui, mon chéri, ne t’inquiète pas : je vais t’en laisser… un peu.
Nous dînâmes de façon merveilleuse ; le petit incident de la route était oublié. Je sentais maman maintenant bien détendue. Elle semblait très heureuse ; ses yeux étaient brillants comme jamais, nous nous prenions souvent par la main en nous regardant dans les yeux selon l’objet de notre conversation, le poids que nous désirions donner à nos paroles. Elle se montrait curieuse, désirant savoir le pourquoi de cette rupture, car c’est vrai que jusqu’à maintenant je m’étais montré très discret sur cette liaison et sa rupture.
Elle sembla très étonnée quand je lui dis que mon amie m’avait reproché de ne pas être un « super amant ».
— Pourtant, me dit-elle en me prenant de nouveau la main et en ancrant son regard dans le mien, je suis certain que cela est complètement faux !
Phrase qui amena une certaine rougeur sur mes joues, ce qui la fit beaucoup sourire.
Quant à moi je la surveillais, et je ne remplissais pas sa coupe plus souvent que la mienne. À la fin du repas, je sentis qu’à un moment elle me regardait beaucoup, fixement, et je la regardai à mon tour avec un air interrogateur.
— Comme cela, de ...
... profil... c’est fou... fou ce que tu peux ressembler à ton père au même âge !
Le repas se terminait, et sur une dernière coupe nous quittâmes l’auberge.
— On marche un peu avant de rentrer ?
— Volontiers !
— On prend ce petit chemin qui descend vers la plage.
Et nous descendîmes le petit chemin escarpé. Il n’était pas très large ; il y avait à peine de la place pour deux de front. Nous nous prîmes par la main, en nous serrant l’un contre l’autre. Ce n’était pas la première fois que nous nous prenions par la main pour marcher, mais cette fois, sans nous consulter, sans rien préméditer, nos doigts s’étaient croisés. Quand le chemin n’était pas assez large et qu’elle devait avancer en se tournant un peu vers moi, je sentais sa poitrine venir palpiter contre mon torse.
Maman avait posé la tête sur mon épaule et me parlait doucement.
— Je suis bien, tu sais, et j’ai passé avec toi une très agréable soirée.
— Pour moi aussi, maman, la soirée a été merveilleuse. Et je crois que j’avais besoin d’une soirée comme celle-là, avec toi.
— Oui, moi aussi... j’avais besoin d’une telle soirée. Et si j’ai eu besoin au départ d’une bonne coupe de champagne pour bien me mettre dans l’ambiance, je me suis ensuite sentie très à mon aise. Et tu sais... franchement, je n’ai pas trop bu.
Et c’était vrai ! À tel point que la bouteille n’étant pas terminée, nous avions demandé une autre coupe à la jeune femme qui nous servait afin qu’elle vienne trinquer avec nous, ce qu’elle a ...