Sea, sex and... son (2)
Datte: 30/11/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Bugsy, Source: Xstory
Heureusement qu’à ce moment-là et qu’en cet endroit la route était déserte, car je pense que durant un court instant j’ai dû perdre le contrôle du véhicule. À peine cent mètres plus loin, il y avait un petit renfoncement sur la droite, alors j’en ai profité pour couper le contact.
— Désolé, maman.
Pour une fois que je l’invitais, j’ai vraiment eu le nez creux.
— Si tu préfères, j’annule tout. Ce n’est pas grave : ce ne sont pas les restaurants qui manquent par ici. Et puis nous pouvons aussi rentrer à la villa si tu es trop secouée.
— Non... non ! Tu es très gentil, mais non. Toi tu fais des efforts pour oublier ta dernière aventure ; je dois en faire aussi.
— Mais, maman... cela ne se compare pas ! Je comprends, tu sais. Et puis, vraiment, je suis désolé. Mais franchement, je ne pensais pas que tu sois déjà venue ici.
— Non, je t’assure, ce n’est rien ; seulement la surprise, je ne m’y attendais pas. Et en une poignée de secondes, tant de choses sont remontées à la surface… mais c’est bon. Allez, redémarre.
Je remis donc en route, mais j’avoue que je ne savais plus trop comment enchaîner la conversation. C’est maman elle-même qui commença de parler, des souvenirs qui lui revenaient. Et elle parlait beaucoup, vite, enchaînant les phrases sans même attendre que je me mêle à la conversation. Et je la laissais parler, me disant qu’elle avait besoin de cela pour évacuer tout son stress.
Enfin la chaumière fut en vue, et je me garai sur le parking. Une ...
... fois sorti, je fis le tour du véhicule pour venir lui ouvrir la portière, lui prenant la main pour l’aider à descendre.
— Tu es sûre, maman ? Tu es bien ? Tu veux vraiment y aller ?
— Oui, oui, pas de problème, on y va. Et un peu de champagne me fera le plus grand bien !
Le chef de rang nous plaça à une petite table, assez retirée, devant une large baie vitrée ouverte donnant sur la mer.
— Apéritif ?
— Oui, bien sûr. Champagne, s’il vous plaît. Et pas de coupe, mais une bouteille : nous dînerons au champagne.
Une fois qu’il fut parti :
— Mais, mon chéri, tu es fou ! Ce n’est pas parce que je t’ai dit qu’un peu de champagne me ferait du bien qu’il faut te sentir obligé d’en commander pour tout le repas.
— Maman… je sais que tu adores cela. Et tu sais très bien que si je le fais, c’est parce que j’en ai envie et que je peux le faire.
Pour me parler, elle avait placé sa main sur mon poignet, et ses doigts longs et fins aux ongles admirablement taillés pianotaient sur mon avant-bras. Ce n’était pas la première fois qu’elle me prenait le poignet pour me parler, mais je ressentis quelque chose d’étrange : peut-être sa main qui s’appuyait davantage, qui restait plus longtemps sur moi. Regardant ses yeux, je les trouvai plus brillants que jamais. Ce ne pouvait être le champagne : nous n’avions pas encore été servis. Alors, peut-être l’effet de ses larmes de tout à l’heure...
Le serveur revint avec le champagne, et une fois qu’il nous eut servis nous ...