1. Un matelot qui vogue sur l'eau (2)


    Datte: 30/11/2021, Catégories: Gay Auteur: ropaul45, Source: Xstory

    ... m’échapper, mais mon nouvel amant m’a donné quelques fortes claques sur mon arrière-train m’intimant l’ordre de rester tranquille. Il a pris sa grosse tige en main, l’a présentée devant mon petit trou et a forcé l’entrée pour me pénétrer directement à fond. J’ai crié. Cela ne lui a fait ni chaud ni froid. Ou plutôt cela a dû augmenter son désir, car il m’a pénétré avec vigueur, claquant toujours mes fesses qui devenaient à leur tour très sensibles......
    
    Ayant déjà joui dans ma bouche, il était plus résistant. Parfois, il accélérait, tandis qu’à d’autres moments, il ralentissait, sortait même de mon anus, laissant un grand vide à l’intérieur. Il ne restait pas longtemps à l’extérieur, très vite, il reprenait possession de mon corps. Entre autres gentillesses, il m’a dit :
    
    — Alors le Français, tu es content ? Tu l’as ta bite arabe dans le cul.
    
    Plus souvent, il prononçait des mots arabes que je ne comprenais pas, mais qui n’étaient sûrement pas des douceurs...
    
    J’étais humilié, martyrisé et, bizarrement, je commençais à ressentir de nouveau de l’excitation, du plaisir même. Je pense qu’il s’en est rendu compte. Il a accéléré le rythme et la vigueur de ses pénétrations. J’avais toujours la tête contre le lit, le cul bien relevé, les jambes écartées. J’ai glissé ma main sous moi pour me saisir de ...
    ... mon sexe. Je me suis rendu compte que je bandais ! Je me suis branlé et très rapidement, j’ai éjaculé en criant. Omar m’a suivi en inondant mon intestin de son sperme et en me serrant très fort contre lui. Il a ressorti sa queue en me redonnant une bonne tape sur le cul. J’ai aussitôt senti des quantités de liquide sortir et couler le long de mes cuisses.
    
    Je me suis écroulé sur le lit, j’étais épuisé. Mais Omar, insensible, m’a relevé la tête et m’a obligé à nettoyer sa queue poisseuse qui n’avait ni le goût d’un bonbon à la menthe, ni l’odeur de la rose !!! Je me suis bien gardé de protester et je l’ai fait malgré quelques haut-le-cœur !
    
    Il a échangé quelques paroles en marocain avec son ami avant de partir sans même m’adresser la parole.
    
    Mohamed, plus affectueux, est venu s’allonger avec moi et m’a serré dans ses bras, m’a câliné en m’appelant sa Chérie... Nous nous sommes embrassés et un peu caressés. Puis la réalité m’a rattrapé.
    
    — Quelle heure est-il ?
    
    — 23 heures.
    
    L’heure de prendre le chemin du retour et de se quitter, car mon bateau appareillait le lendemain matin.
    
    Nous nous sommes langoureusement embrassés avant de quitter chez lui. Il m’a ramené en voiture et nous nous sommes quittés sur un simple au revoir, sachant que l’on ne se reverrait jamais. Ainsi va la vie de marin. 
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