Mon père me prend en mains (11) - Histoires de Sexe

Mon père me prend en mains (11)

... et Alexandre reprend la parole.

— Tu dis rien à Thomas et on lui dit rien non plus.

— Haha, mais vous avez rien à lui dire parce que je n’ai rien fait !

— Ah ouais ? Et quand tu lui disais que c’était plus simple de poser ton gros cul sur mes genoux tu faisais rien ? Et quand tu te laisses peloter sous ses yeux sans rien dire, tu faisais rien ?

Dylan le coupe.

— Toi aussi tu as touché son cul ? Et l’autre a rien vu ?

— Mais non, je l’ai fait boire ce qu’il fallait avant.

— Olala, c’est vraiment une tarlouze... Faut pas qu’il s’étonne qu’on profite de sa meuf.

Leur sournoiserie me fait rire.

— Haha mais vous êtes vraiment des connards ! Il est chou Thomas, arrêtez... Et puis personne profite de moi.

— Mais non mais c’est juste qu’il s’impose pas... On fait ça pour lui rendre service nous. Si tu sais que ses potes ont des belles bites, tu voudras rester avec lui en plus !

— Je vois pas le rapport...

— Bah lui il te comblera de cadeau et de ses trucs romantiques. Et nous on te comblera au lit.

— Vous allez rien combler du tout. Il fera tout très bien tout seul. Et je suis sûre que vous êtes même pas des bons coups.

Ils éclatent de rire. Alexandre reprend.

— Parce que tu crois qu’avec sa bite il va s’occuper de ton gros cul ? Je sais même pas s’il arriverait à la rentrer dedans.

— Arrêtez de le critiquer comme ça...

— Je le critique pas, c’est juste qu’il a une petite bite. Alors que dans la cuisine tu m’as dit que tu ...

... aimais sucer, donc je suppose que tu aimes bien les grosses bites comme la miennne.

— Tu as une grosse bite ?

— Tu vois ?! C’est le seul truc qui t’intéresse !

Je ris de ma bourde. Je commence à être excitée même si je me contiens pour résister à leurs avances.

Alexandre défait son short et le baisse sans avertissement. Je m’arrête de sourire. Il a un caleçon gris, et je distinge les contours de son membre qui a l’air effectivement imposant.

Il passe sa main autour et le secoue à travers son caleçon.

— Regarde comment tu mates ! T’es pas crédible quand tu nous dit que tu veux pas qu’on te les montre.

Mes yeux se sont à peine décollés du spectacle qui s’offre à moi. Et je ne peux m’empêcher de sourire bêtement.

Dylan l’imite et se met lui aussi en boxer.

— Arrêtez... c’est mal...

— Mais non, c’est rien ! Tu sais quoi, tu peux sortir et retourner avec l’autre si tu as peur de nous.

— Ouais, tu veux faire la femme qui aime la bite mais t’as 18 ans donc on se doute que c’est que de la gueule.

— Mais c’est pas que j’aime pas être avec vous, c’est juste que je veux pas tromper Thomas. Et c’est pas que de la gueule...

— Tu vas pas le tromper, tu vas juste donner ton avis. Si c’est trompé pour toi, ça montre bien que c’est que de la gueule.

Je suis hésitante. Leurs arguments me piquent mais mon sourire ne s’en va pas.

Après tout ils ont raison, ce n’est pas grand chose.

— Bon d’accord, je vais vous donner mon avis ! Mais vous êtes des ...