Mon père me prend en mains (11) - Histoires de Sexe

Mon père me prend en mains (11)

... se met à ronfler.

Ça nous fait rire, et Alexandre en profite.

— Cindy, montre moi ce que ça donne de dos.

J’hésite un peu mais je ne suis plus en état de résister à leur petit jeu.

Je me lève et me tourne.

— Ah ouais ! C’est encore mieux sans la jupe.

Dylan me claque les fesses et je lui mets une petite tape sur l’épaule.

— Arrête d’en profiter !

— Tu agites ton cul sous mon nez et j’ai pas le droit de toucher.

— Y’a mon mec qui dort à 2 mètres !

— Vu comment il ronfle il entend rien.

Je rigole à nouveau mais je me rasseois malgré tout.

Alexandre s’approche de Dylan. Il lui chuchote quelque chose à l’oreille, si bas que je n’en entends pas un mot.

Dylan fait oui de la tête, tape dans la main d’Alexandre et se lève sans dire un mot pour sortir de la chambre.

Alexandre s’asseoit à côté de moi.

— Il va où ?..

— Il est fatigué, il est allé dormir.

— Mais il t’a rien dit...

— Oui mais ça se voit.

Une minute passe où Alexandre me demande si j’ai passé une bonne soirée, puis Dylan passe sa tête dans l’embrasure de la porte.

— C’est tout bon.

Il ressort et je l’entends s’éloigner dans le couloir.

Je ne comprends pas ce qu’il se passe mais je fais comme si rien ne me surprenait.

— Tu veux qu’on redescende ? Thomas voulait qu’on dorme mais je suis pas fatiguée.

— Tout le monde est en train de partir mais ça tombe bien que tu me dises ça.

— Pourquoi ?

— Parce qu’on fait un jeu de cartes avec les survivants en ...

... haut, viens avec moi.

Je me lève, et je vais reprendre ma jupe.

— Mais non, reste comme ça, t’inquiète.

Je ne sais pas trop quoi dire mais je me dis qu’il ne doivent plus être beaucoup et que je serai assise dans tous les cas. Je le suis jusqu’au bout du couloir de l’étage.

Il ouvre une porte et me fait entrer.

C’est un mélange entre un débarras et une chambre, avec un grand lit au milieu.

Il n’y a que Dylan, qui est assis sur le lit.

— Ils sont où les autres ?

J’entends le bruit d’une clé que l’on tourne. C’est Alexandre qui nous a enfermé.

Dylan se lève.

— Les autres sont partis, il y a que nous.

Les mains d’Alexandre attrape mes fesses et me font sursauter.

Je m’avance et me retrouve nez à nez avec Dylan.

Alexandre revient près de moi et me prends par les hanches.

— Qu’est-ce que vous faites ?

— On a besoin de ton avis.

— De mon avis pour quoi ?

— Pour savoir qui a la plus belle queue.

— Mais vous êtes malades... on est chez votre pote et vous m’enfermez dans une chambre pour me montrer vos bites ?

— T’es pas drôle, à croire que tu as jamais vu une bite de ta vie ?

— Tu as vu la mienne en haut il y a une demie-heure.

— Et puis c’est pas parce qu’on te la montre que tu es obligée de nous sucer.

Je suis outrée par leurs avances. En même temps ce sont tous les deux de vrais hommes, massifs et virils, et j’ai bien plus envie de rester avec eux plutôt que de retourner avec Thomas.

Je me dégage de leur emprise, ...