1. Week-end au château


    Datte: 31/01/2018, Catégories: hh, hhh, jeunes, Inceste / Tabou copains, hdomine, Oral hsodo, Auteur: Mathieu, Source: Revebebe

    ... tout à l’heure, sans que je m’en aperçoive, enfilé une capote transparente qui le moulait avantageusement. Ses testicules étaient énormes, remontés le long de la verge, dans leur bourses fripées et bien rondes. Je pris son mandrin à pleine main et m’empalai dessus. Ça glissait bien en moi, sans difficultés.
    
    — C’est super ! m’exclamai-je quand je sentis mes fesses caressées par ses poils pubiens.
    — Oh oui ! Pour moi aussi, t’es super serré, j’adore ton cul !
    — C’est que comme je te l’ai dit, je suis hétéro maintenant, je ne l’ai pas fait depuis plusieurs années.
    
    Il avait ses mains sur chacune de mes fesses et m’imprima un mouvement de haut en bas. C’était moi qui menais la danse, montant et descendant sur son chibre qui glissait bien en moi. La jouissance revenait. Je me mis à me branler, il m’en empêcha voulant le faire lui-même.
    
    — Laisse-moi faire, tu vas jouir trop vite, on n’est pas bien comme ça ?
    
    On changea de position, je me retournai, toujours avec son pieu dans le fondement, comme fixé sur un axe. Il se releva et me poussant, me prit en levrette, toujours sans déculer. Par un mouvement acrobatique, il m’allongea sur le dos et me prit à la missionnaire et c’est dans cette position que je sentis le plaisir m’envahir, j’éjaculai sur mon ventre, avec une telle puissance que j’en eus jusque sur le menton. Il sortit précipitamment de moi et vint mélanger sa liqueur à la mienne, crachant lui aussi avec une puissance que je n’avais jamais vue. Il s’effondra sur ...
    ... moi, et nous nous endormîmes, l’un sur l’autre, collés par nos spermes, lèvres contre lèvres.
    
    La position n’était pas très confortable, il m’étouffait. Je le poussai délicatement sur le côté, mais nos ventres étaient collés par nos semences. Enfin, on parvint à se détacher quand même.
    
    Je me réveillai aux premières lueurs du soleil. Il dormait, me tournant le dos, la jambe de dessous tendue, celle de dessus pliée, m’offrant des fesses éclairées par les premiers rayons du soleil.
    
    La tentation fut forte, je me mis à lui caresser la raie, puis à le lécher. Je vis sur la table de nuit la boîte de préservatifs et le tube de gel qu’il avait déposé là quand il était venu pendant mon sommeil. Je lui en mis sur la rondelle, et enfilant un préso, je me mis à le pénétrer. Après tout, il m’avait bien violé hier, maintenant c’était mon tour.
    
    Son anus était bien ouvert, je ne devais pas être le premier à passer par là. Il se mit à bouger et s’allongea sur le ventre. Je m’agitai en lui avec fougue.
    
    — Vas-y, Mathieu ! Ramone-moi comme une bête !
    
    Je le regardai, étonné et amusé. Il mesurait près d’un mètre quatre-vingt-dix et devait peser plus de cent kilos, tout en muscles, et moi, à peine un mètre soixante-dix, et soixante-sept kilos, et il me demandait de le ramoner comme une bête.
    
    Il me repoussa et se retrouva sur moi. Nous étions tous les deux sur le dos, je me saisis de sa queue que je me mis à branler. Il ne tarda pas à jouir pendant que, excité par les contractions ...
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