1. Week-end au château


    Datte: 31/01/2018, Catégories: hh, hhh, jeunes, Inceste / Tabou copains, hdomine, Oral hsodo, Auteur: Mathieu, Source: Revebebe

    ... à travers le tissu, il se mit à me mordiller le vit, ce qui en augmenta encore la dureté. Mon membre était maintenant complètement dressé, tendant mon caleçon.
    
    J’avais ouvert les yeux, c’était bien Julien. Il souleva l’élastique pour baisser mon sous-vêtement qu’il m’ôta complètement, tirant avec force pour libérer la ceinture élastique du poids de mes fesses. Il s’aperçut que j’étais réveillé et vint s’allonger à côté de moi.
    
    Il était lui aussi en tee-shirt et boxer. Il s’était couché sur un de mes bras, bloquant ma circulation sanguine. Il me caressait le ventre, la poitrine, le pubis passant de l’un à l’autre, puis revenait au premier dans un massage érotique. Mon pieu était fièrement dressé.
    
    — Mathieu, tu es super, j’ai envie de toi ! me chuchota-t-il à l’oreille.
    — Non, laisse-moi ! Je t’ai déjà dit que je n’étais pas comme ça, j’aime ma copine.
    — Et alors, ça n’empêche pas ! Tu vas voir comme on va bien s’entendre tous les deux.
    
    Il se pencha sur moi et me donna un baiser fougueux. J’ouvris la bouche et sa langue vint aussitôt à la recherche de la mienne. Il finit de me déshabiller et se redressa pour aller au contact de mon sexe qu’il se mit à lécher.
    
    — S’il te plaît, Julien, laisse-moi ! Laisse moi dormir ! Il est tard. Essayai-je une dernière fois pour qu’il me laisse tranquille.
    — Quand on bande comme toi, c’est qu’on prend son pied ! Ose dire que tu n’aimes pas mon traitement. Laisse-moi faire, tu vas voir comme on peut se faire du bien entre ...
    ... hommes.
    
    Pour lui montrer ma détermination, j’en profitai pour me retourner sur le ventre, pensant ainsi cacher l’objet de ses désirs, mon sexe, mais au contraire, je lui offris mon postérieur qu’il convoitait aussi. J’étais impuissant devant sa détermination, d’autant plus qu’il était bien plus grand et bien plus fort que moi. Je me résolus à me laisser faire.
    
    Il se mit à genoux, une jambe de chaque côté de mon corps, à hauteur de ma poitrine, et m’écartant des deux mains les globes fessiers, se mit à me lécher la raie des fesses.
    
    — Détends-toi, je ne veux que ton plaisir ! Tu l’as déjà fait ? Non ?
    
    Je ne répondis pas, comment le savait-il, Jacques-Henri ne m’aurait pas trahi ?… C’est sûrement par lui qu’il le sait. « Ah, le salaud ! pensai-je », pendant que Julien me léchait le cul, y mettant beaucoup de salive.
    
    — T’as un petit trou superbe, ça va être génial.
    — Rien du tout ! m’écriai-je. Laisse moi tranquille et va dans ta chambre.
    — Laisse-toi faire, tu vas voir comme je suis tendre et doux. On est fait l’un pour l’autre, regarde comme je bande. On est dans le même état !
    
    Il mit son sexe sous mes yeux, en effet, son sexe tendait le tissu de son boxer, tel un mât de navire. Je ne pouvais pas en voir la taille, mais ce que j’avais vu sous la douche tout à l’heure me laissait présager un chibre de bonne taille. « Je vais déguster ! », pensai-je.
    
    Il vint se placer entre mes jambes et je sentis son membre prendre place entre mes fesses. Afin de l’empêcher de ...
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