Week-end au château
Datte: 31/01/2018,
Catégories:
hh,
hhh,
jeunes,
Inceste / Tabou
copains,
hdomine,
Oral
hsodo,
Auteur: Mathieu, Source: Revebebe
... je vais avec toi.
— Moi aussi ! cria Jacques-Henri.
— Et moi, je compte pour du beurre ? demanda Julien.
Si bien qu’on se retrouva tous les quatre à poil dans la salle de bains qui heureusement était vaste. La douche aussi, mais nous fûmes quand même obligés de nous serrer les uns contre les autres, ce n’était pas pour déplaire à Julien qui se mit à me savonner pendant que Fabrice savonnait Jacques-Henri.
On me nettoya de fond en comble, mais je ne crois pas que c’était à cause d’une quelconque saleté, c’était plutôt pour profiter de l’excuse de la douche pour se frotter les uns contre les autres. La raison n’était que sexuelle. L’eau se mit à tiédir.
— Ça y est ! Y a plus d’eau chaude, dit Julien.
— C’est chaque fois la même chose ! C’est quand on en a besoin qu’il y en a le moins ! ajouta Jacques-Henri.
— Ça ne fait rien, dit Fabrice on va aller se réchauffer dans nos lits ! Ça sera meilleur !
Aussitôt dit, aussitôt fait, il partit tout mouillé dans la direction de la chambre de Jacques-Henri qui le suivit aussitôt.
— Tu veux que je te sèche ? me proposa Julien.
— T’es gentil, ça va, je vais le faire tout seul, dis-je en m’éclipsant dans ma chambre fermant ma porte derrière moi.
Après m’être séché, je me mis au lit, vêtu d’un tee-shirt et d’un caleçon de coton. Aucun bruit ne venait de l’étage, tout était calme. Par la fenêtre ouverte, on n’entendait que les bruits de la campagne endormie. Je me mis sur le ventre et sombrai comme une masse dans un ...
... sommeil profond.
Alors que je dormais, je fus réveillé par une main qui me caressait les fesses. J’étais encore engourdi par le sommeil et ne bougeais pas, faisant semblant de dormir. La main me caressait les fesses, l’une après l’autre, très doucement, suivant parfois la raie médiane d’un doigt fouineur. Ce qui au début n’était qu’une main sur mes fesses et un doigt inquisiteur devint petit à petit de plus en plus sexuel, du moins pour moi. Je sentais la chaleur m’envahir et mon sexe prenait des formes sous mon ventre. La main suivit ma colonne vertébrale vers le haut, sous mon tee-shirt, le remontant le plus haut possible. Puis elle glissa sous ma ceinture pour me caresser directement les fesses. La main se retira de mon caleçon pour essayer de me l’enlever, elle n’y parvint pas, juste à le baisser au milieu des fesses. Je compris qu’il devait s’agir de Julien et commençai à trouver qu’il insistait lourdement, j’aimais ma copine et ne voulais pas la tromper. Je continuai à feindre le sommeil, mais ça ne le calmait pas. Il esquissa des mouvements pour me retourner. Je ne me laissai pas faire, essayant de résister, mais il me saisit par les pieds et là je fus obligé de me retourner, ou sinon, il verrait que je ne dormais pas.
Quand je fus sur le dos, il se mit à me caresser le sexe dont la turgescence devait se voir malgré mon caleçon. En tout cas, il devait la sentir et quand il me saisit la bite à travers le coton, mon érection devint totale. Je sentis son souffle chaud ...