1. Un déménagement à l'africaine


    Datte: 25/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... disparurent dans la maison, laissant le livreur en la seule présence de son hôtesse, de plus en plus hilare.
    
    - Alors, tu te décides ou il faut que je vienne te chercher ? lui lança-t-elle.
    
    Elle le prit par la main et l'entraina vers une banquette où ils s'assirent côte à côte. Elle le bécota et il ne résista pas à l'appel de ses cuisses ouvertes et découvertes. Confirmation : elle ne portait pas de slip. Et sa fente révéla une humidité ne laissant aucun doute sur son appétit. Dans le même temps, elle avait libéré son pénis et ne tarda pas à se pencher pour l'emboucher. Marius sentit une gaine de velours s'emparer de son gland. Bon dieu quelle pipe ! Elle savait y faire, la commerçante ! Il palpait en même temps ses seins lourds et fut épaté par leur fermeté. De vrais muscles ! Puis elle finit par s'interrompre et lui dit :
    
    - Garde des réserves, on ne fait que commencer. Viens, on sera mieux au lit.
    
    Dans le salon, la scène qui sauta aux yeux de Marius le mit dans l'ambiance. Boubacar était assis sur le canapé et Marjorie, totalement nue, le chevauchait avec toute l'ardeur de son cul pulpeux qui tremblotait sous l'effet du pal. Le volume et la longueur du pénis de l'Africain se révélait à chaque fois que la secrétaire se relevait pour mieux s'enfoncer dans un cri rauque. Elle ne serait pas venue pour rien, la copine ! A l'étage, Marius et Sandra passèrent devant une chambre à la porte ouverte où Véronique, vue de face, se faisait prendre en levrette par Gaétan, ...
    ... très concentré, sa partenaire montrant un visage rayonnant, comme si elle allait rire sous l'effet du choc des peaux qui emplissait la pièce.
    
    - Tu es bien baisée, hein, ma cochonne ? lui lança Sandra.
    
    Véronique lui répondit en lui tirant la langue sans interrompre ses coups de cul enthousiastes. Et Sandra tira Marius vers une autre chambre, celle de son couple avec Boubacar, environnée de miroirs jusqu'au plafond, ce qui stupéfia le livreur.
    
    Par la suite, il tomba totalement sous le joug de Sandra. L'athlétique commerçante le plaqua sur le lit, le déshabilla, fit de même et s'empala en rugissant sur la queue verticale, imposant son rythme, ses initiatives, se tournant et se retournant, tournoyant du cul et virevoltant du buste. Marius en prenait plein les yeux autant que de la pine. Il était baisé de long en large par une femelle en chaleur qui suait l'amour par tous les pores au point de parfumer la pièce d'une puissante odeur sui generis. Quand elle se retira, elle se retourna et se mit à quatre pattes, croupe en l'air, et lui dit :
    
    - Mon cul t'inspire, hein ? Un cul de négresse, ça s'encule. Encule-le.
    
    Une telle invitation ne se refusait pas. Il entra avec une surprenante facilité, signe d'une pratique assidue de la part de la dame. Sa queue était comme une branche de teck, infatigable, et il se demanda en limant si le couple hôte n'avait pas jeté un filtre d'amour dans la sangria pour qu'il se montre aussi viril et endurant. Sandra passait de temps à autre sa ...
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