1. Les Contes de Perpornault (3)


    Datte: 24/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... l’embrassa à bouche que veux-tu en faisant attention quand même aux dents acérées. Il lui enfonçait la langue jusqu’à la glotte et bavait comme une éponge qu’on essore. Il donnait de gros coups de queue. Le vagin bien dilaté laissait entrer et sortir la totalité du zob jusqu’aux couilles, et quand la boule passait, le surcroit de pression arrachait un spasme de bonheur à la jeune femme.
    
    En levrette, la grand-mère demandait grâce sous les coups du vieux mâle, trop heureux de profiter de cette bonne fortune.
    
    Le loup éjacula enfin dans la chatte de sa jeune maîtresse. Il retira sa verge enduite de foutre qui dégoulinait en pendeloques lourdes.
    
    Comme le vieux achevait aussi de tirer son coup, il exigea que la petite chatte au rond rouge vint lui bouffer les boules. Et dès qu’il eut joui, il lui fit pomper sa bite et lécher la chatte de la grand-mère qui pissait lentement du foutre. La perspective de bouffer l’abricot de mémé ne la branchait pas, mais elle avait tellement envie de sperme, qu’elle s’y mit de bon cœur.
    
    A force de lécher la grand-mère, cette dernière y prit goût et voulut rendre à sa petite fille ses bienfaits. Elles se retrouvèrent donc en 69 pour leur satisfaction réciproque.
    
    Cela excita les loups qui, en un quart d’heure, reprirent toute leur vigueur.
    
    Le vieux baisa la jeune et vice versa. Ils se servirent de l’une et de l’autre simultanément, les bourrant à deux queues, le jeune loup en dessous, avec une femme à califourchon sur sa gueule, la ...
    ... langue bien au fond de son vagin, pendant que la femelle pelotait celle qui, en vis-à-vis, se faisait prendre dans les deux trous. Puis on changeait.
    
    Ils forniquèrent comme cela une bonne partie de la nuit et s’endormirent tous les quatre sur le lit qui craquait.
    
    Le lendemain au réveil, la petite chatte au rond rouge fut tirée du sommeil par les gémissements étouffés de sa mère-grand. Le vieux loup était allongé dessus et il la baisait en douceur, en missionnaire, sans bouger beaucoup, en mode câlin. La vieille profitait de l’aubaine. A son âge, elle n’attirait plus guère que les veufs ou les vieux, souvent trop pressés, et quelques jeunes, trop boutonneux pour plaire aux nanas ou qui trouvaient ici l’occasion de perdre leur pucelage à peu de frais. Le vieux loup au moins était bien monté et très endurant.
    
    Si la fille n’avait pas déjà eu envie de pine, la scène lui aurait donné des ardeurs. Il était temps de s’occuper de l’autre mâle qui dormait encore profondément. Pas de doute, il y aurait du sperme pour ces dames au petit-déjeuner.
    
    Elle se mit donc à quatre pattes au-dessus de la tête du loup, la touffe au ras de la truffe et commença à se caresser la chatte.
    
    Elle ne fut pas longue à mouiller et l’odorat sensible du loup fut stimulé par la fragrance de la moule chaude.
    
    La petite chatte au rond rouge remarqua que le dard sortait de son fourreau, magnifique, rouge vif et sut que la bête était définitivement éveillée quand elle reçut un grand coup de langue ...