1. Alphonse, mon clébard de frère (2)


    Datte: 23/11/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Belle Azrael, Source: Xstory

    ... sur le côté de la table, pour avoir une vue sur son entrejambe qu’il malaxait à pleine main. Il tenait sa queue à travers son short, lui imprimant de vifs et forts coups de poignet. Une tâche humide apparût alors là où son gland pointait. Le spectacle était saisissant et je sentis ma verge tressauter. Ce fut à mon tour de déglutir quelque peu mal à l’aise.
    
    Qu’est-ce que je devais faire ?
    
    Lorsque Alphonse sortit prestement sa queue de son short, mon sexe palpita et se tendit contre mon ventre. Bon sang, tout ça était tellement excitant ! Je devais avouer que le voir le nez enfoncé dans mon boxer en train de se masturber, ne me déplaisait pas... mais alors pas du tout... Alphonse enroula soudain mon boxer autour de son sexe et reprit ses va-et-vient impatients. Il gémit fort, il était essoufflé, sa bouche était grande ouverte. Il fit monter et descendre mon sous-vêtement sur son chibre. Puis dans un soupir, qui était proche du cri, Alphonse explosa dans mon boxer. Une large tâche d’humidité s’étala sur le tissu. Lorsqu’il éloigna le boxer de sa queue, je vis les tâches blanches qui le souillaient.
    
    Alphonse reprit peu à peu ses esprits et moi, je n’avais pas bougé d’un pouce, je restais là à le regarder. Mon sexe était plus dur que jamais, mes couilles ne veulaient plus qu’une chose : jouir sur mon frère. Oh mon Dieu ! J’eus du mal à croire que j’eus osé penser cela ! Mais pourtant, je m’approchai d’Alphonse, la tête complètement embrumée par le désir et je me mis à ...
    ... me caresser. Je laissai mes mains glisser, coulisser, monter et descendre sur ma queue, tout en regardant mon boxer souillé. Alphonse me vit approcher et ne rechigna pas, il resta sage et admira les mouvements que je faisais sur mon sexe. Je m’approchai assez pour que ma main qui s’agitait se cognait presque contre la mâchoire de mon frère. Je poursuivis mes va-et-vients, allant de plus en plus rapidement. Je sentais une délicieuse chaleur se répandre dans mon ventre, secouer mes couilles et là, je n’en pus plus. Je jutai avec générosité sur le t-shirt d’Alphonse. Une partie de mon jus éclaboussa sa mâchoire et sa joue.
    
    Ma semence s’écoula lentement sur sa peau et le spectacle fut magnifique à voir. J’aimais cela. C’était beau. Alphonse n’avait pas bronché, il fixait toujours ma queue avec un désir évident.
    
    — Puis-je vous nettoyer, maître ? demanda-t-il avec envie.
    
    — Me nettoyer ? je faisais en essayant de calmer ma respiration rapide.
    
    — Oui, vous nettoyer le membre.
    
    — Ma bite ? je m’étonnai. Comment tu voudrais la nettoyer ?
    
    — Avec ma bouche, maître.
    
    — Tu es vraiment un drôle de vicelard, Alphonse.
    
    — Vous acceptez ma proposition, maître ?
    
    Son impatience était étrange à voir. Je ne pourrais dire si cela me plaisait ou non. Ma queue se ramollit entre mes cuisses et un goutte de sperme pendit au bout. La goutte s’apprêtai à tomber, mais Alphonse n’avait pas l’intention de la laisser être gaspillée, alors il tendit la langue et l’attrapa. Je sursautai, ...