1. Alphonse, mon clébard de frère (2)


    Datte: 23/11/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Belle Azrael, Source: Xstory

    Le lendemain matin, après une bonne nuit de sommeil, j’allai dans la cuisine, vêtu de mon seul boxer. Le matin, j’étais toujours dans cette tenue, c’était confortable et il faisait plutôt chaud pour la saison. Je m’avançai donc dans la cuisine, sans me soucier du tissu serré du boxer qui moulait mon sexe et mon érection matinale. Je cassais des œufs au-dessus de la poêle, quand j’entendis du bruit derrière moi. Alphonse entra dans la cuisine, habillé d’un t-shirt et d’un short qui lui servaient de pyjama. Il me détailla des pieds à la tête pensivement.
    
    — Qu’est-ce que t’as ? Je lui demandai.
    
    — Oh rien... bredouille-t-il en rougissant.
    
    — Tu ne m’appelles plus « maître » ?
    
    — Oh, si... enfin, oui... maître...
    
    Je ris de sa maladresse, il était mignon malgré son rapport plus qu’étrange avec mes vêtements. Il sortit la bouteille de lait du frigo et c’est là que je vis que lui aussi avait son érection matinale. Son short est tendu vers l’avant.
    
    — Tu es bien « éveillé », je me moquai en désignant son entrejambe.
    
    Il rougit et s’assoit sur une chaise autour de la table afin de cacher son érection.
    
    — Tu ne vas pas te soulager tout de suite ? Je demandai pour le mettre encore plus mal à l’aise.
    
    — Je-je ne peux pas... je n’y arriverai p-pas.
    
    — Comment ça ?
    
    — Tous tes vêtements s-sont lavés...
    
    — Oh !
    
    Il me regarda avec des yeux si gênés et suppliants que cela me serra le cœur. Encore une fois j’ai pitié de lui. J’hésitais à faire ce qui me passait ...
    ... par la tête, mais me disant que cela n’améliorera pas les choses qu’il garde une érection pareille, j’agis. Je glissai mes doigts sous l’élastique de mon boxer et le fis descendre le long de mes jambes. Ma queue jaillit et pointa devant moi. Ma verge était longue et effilée comme une épée. Alphonse en me voyant faire, déglutit péniblement. Son visage devient de plus en plus rouge. Il admira mon membre rigide avec des yeux ronds. Moi, je lui lançai mon boxer à la figure. Il n’arriva pas à le rattraper, mon sous-vêtement lui atterrit en plein sur le nez. Il saisit alors le tissu et me jeta un regard effaré. Je haussai les épaules comme si ce n’était rien.
    
    — Branle-toi maintenant, décharge-toi dans mon boxer, je lui intimai.
    
    — Oui, maître, souffla-t-il.
    
    — Ah, les « maître » sont revenus ?!
    
    — Oui, maître.
    
    Alphonse enfonça alors son nez dans mon boxer, respira profondément. Il se gorgea de son odeur et je vis une expression d’extase se répandre sur ses traits. Il ferma les yeux de bonheur, il inspira encore une fois et je l’entendis gémir doucement. Je restai là, fasciné par la scène qu’il m’offrait. Alphonse serrait mon sous-vêtement contre sa bouche et son nez, ses mains trahissaient une certaine impatience. Sa respiration devenait de plus en plus forte et hachée. Tout à coup, une de ses mains alla sous la table. De ma position je ne voyais pas ce qu’il faisait, même si je le devinais. Je me surpris à vouloir voir ses mouvements et malgré moi je m’avançai vers lui, ...
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