1. Mon éveil de soumise (10)


    Datte: 22/11/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory

    ... soumise.
    
    — Vous me donnerez du plaisir aussi ?
    
    — N’en doute pas.
    
    — Merci Madame.
    
    — Appelle-moi Fabienne, je préfère.
    
    J’étais heureuse d’être parvenue à mes fins.
    
    Comme Eric, je la recevrai dans mon petit appartement de location ; j’avais préparé mes instruments, les avais alignés sur ma table basse. Pinces et poids, martinet, liens, mon gode-ceinture, élastiques, brosses,... Et je me mis à construire des scénarios de ce que je lui imposerai et lui ferai subir. Faute de connaître ses limites et par souci d’en faire une éventuelle esclave pour Pierre, je décidai de rester « soft » pour sa première séance.
    
    Elle sonna à 18h, elle était ponctuelle ; bon point.
    
    Je lui ordonnais de se déshabiller devant moi assise ; j’avais largement dégrafé ma robe que je portais sans sous-vêtements.
    
    Elle commença par le haut ; ses tétons étaient vraiment sombres et surtout avec de petites aréoles terminées par un téton qui pointait comme sur la photo.
    
    Lorsqu’elle retira sa culotte, elle ne put s’empêcher de mettre ses mains devant sa chatte par pudeur ; pas question de la brusquer. Je me levai et, en incrustant une main dans le sillon de ses fesses, je l’embrassai tendrement et avidement ; elle me rendit mon baiser avec fougue et sans doute soulagement.
    
    Le ton donné, elle s’abandonna dans mes bras, mise en confiance. Ma main descendit passant d’abord par son anus, très serré, pour finir dans sa chatte merveilleusement mouillée comme la mienne.
    
    Je me rassis, ...
    ... cuisses écartées « Tu as envie de ma chatte ? »
    
    — Oui Fabienne.
    
    — Je te la donnerai... en son temps ; pour le moment, contente-toi de venir entre mes cuisses sans la toucher.
    
    Zohra s’agenouilla entre mes cuisses, je relevai ma robe et je sentis son souffle chaud sur mon sexe.
    
    Je la laissai, sans un mot dans cette position tandis que je commençai à « travailler » ses tétons ; lorsqu’ils furent bien dressés, j’y posai deux pinces, celles reliées par une chaînette. Je l’étirai doucement, petit gémissement ; je recommençai plus fort et la maintins ainsi.
    
    — Tu aimes ma chatte ?
    
    — Oh oui, mais vous avez beaucoup de poils, j’aimerais mieux la voir.
    
    — Ecarte mes lèvres, alors.
    
    Elle le fit délicatement et s’approcha un peu plus. Ses seins étaient maintenant très étirés et je jouissais de ce spectacle ; elle ne manifesta aucune retenue si ce n’est quelques gémissements, sourds et consentants.
    
    — Tu aimes ma chatte ouverte ?
    
    — Hmmm oui, elle est très mouillée, elle sent fort.
    
    Je caressai son visage, m’approchai de son oreille pour lui murmurer « Tu as vu les objets posés sur la table ? »
    
    — Je les ai vus ; vous allez les utiliser tous ?
    
    — Peut-être ; lequel te fait peur ?
    
    — Le martinet et le gode ceinture me font peur.
    
    — Le gode ceinture, pourquoi ?
    
    — Je ne me suis jamais fait enculer.
    
    — Tu en as envie ?
    
    — Je ne sais pas, j’ai peur d’avoir mal.
    
    Toujours à genoux entre mes cuisses, je retirai les pinces de ses seins que je massai ...
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