1. Mon premier job


    Datte: 21/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Nobody94, Source: Xstory

    ... ainés.
    
    Il monta un peu plus sa main.
    
    — Avez-vous un petit ami ? Un fiancé ?
    
    — Non...
    
    Sa main montait doucement le long de ma cuisse. J’avais chaud. Monsieur Tanaka était un homme d’au moins quarante ans mon ainé, si ce n’est plus. Les cheveux blancs, la peau flétrie, les lèvres pleines et humides...
    
    Il se pencha vers moi et sentit mon parfum. Sa main était maintenant sous ma robe. Il frottait ma cuisse en faisant de petits cercles. Sa main obligeait mes jambes à s’écarter. Il était chaud, son souffle dans mon cou aussi. Je sentis de l’humidité. La pointe de sa langue caressait mon cou timidement puis plus fort. Je me mis à respirer plus vite, plus fort. L’alcool faisait son effet. Monsieur Tanaka posa ses lèvres dans mon cou et sa main à travers mon tanga.
    
    — Vous aimez ?
    
    Je haletais. Il réitéra la question.
    
    — Oui...
    
    Il me fit basculer sur le canapé. J’en oubliais où j’étais. Cela faisait si longtemps, et l’alcool... Il faisait si chaud. Monsieur Tanaka me léchait le cou et le visage. Ma robe était remontée et sa jambe frottait ma chatte au travers du tanga. Je regardais en direction de Cédric et Monsieur Ito.
    
    Ils semblaient vraiment pris par les contrats. Je sentis ma robe se remonter et le décolleté de cette dernière se faire écarter. La langue chaude de Monsieur Tanaka parcourrait le sillon entre mes seins. Sa langue était si chaude. Il se redressa et me regarda, empoignant mes seins dans ses mains. Il marmonnait en japonais, se passant la ...
    ... langue sur ses lèvres. Ses mains serraient mes seins un à un, les pétrissant sans répit. Je sentais ce frisson de plaisir dans mon bas ventre. Il n’y avait pas à dire les Japonais avaient vraiment quelque chose pour les seins. Il relâcha ma poitrine, ses doigts traçant un chemin jusqu’à mes tétons qu’il pinça puis tira aussi haut que possible. Je poussais des gémissements, me tortillant sous lui tandis qu’il faisait bouger mes seins du bout des tétons. Il les relâcha et les empoigna violemment avant de fondre dessus avec sa bouche.
    
    Les sensations étaient divines, je sentais sa bouche, sa langue, ses dents, sa salive tiède recouvrir mon corps. Je fermais les yeux, gémissante. Mon corps répondait sans que je le contrôle vraiment. J’avais écarté les cuisses pour frotter mon entre-jambes contre sa cuisse.
    
    Monsieur Tanaka me frappa la cuisse une première fois. Je continuais à me tortiller de plus belle. Il frappa une deuxième fois plus fort, et je m’arrêtais enfin.
    
    — Votre employée est délicieuse, mais elle doit apprendre la patience.
    
    Monsieur Tanaka s’adressait à Cédric. Merde… Qu’est-ce que j’étais en train de faire. L’alcool redescendit d’un coup. Je voulais me redresser pour me rhabiller, j’avais le rouge aux joues, j’étais gênée. Je sentais ma culotte trempée… «Putain, ma pauvre fille, tu es vraiment en manque. ». J’avais honte, j’étais mortifiée.
    
    — Ne bouge pas. Je vais t’apprendre la patience.
    
    Monsieur Tanaka passa sa main sur ma gorge et me refit m’allonger ...
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