Mon premier job
Datte: 21/11/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Nobody94, Source: Xstory
Je m’appelle Céline, j’ai 25 ans et je travaille dans une boite privée. Peu importe son domaine, cela n’est pas intéressant pour l’histoire que je vais raconter.
J’ai toujours eu le souci du détail dans mon travail et j’ai tendance à en faire plus pour montrer ma valeur. De nature réservée, j’ai du mal à créer du lien avec les gens, ce n’est pas toujours évident pour moi. Néanmoins, une fois à l’aise, je suis une personne chaleureuse et sur qui on peut compter.
J’oubliais mon apparence. Cela vous sera utile pour mieux visualiser ce que je vais vous raconter. Je mesure 1m65, je ne suis ni mince ni grosse. Mes cheveux sont longs et lisses, de couleur noire, se dégradant sur les longueurs pour tirer vers un blond froid. J’ai le teint assez clair, de grands yeux marron foncé, des sourcils bien dessinés, une paire de lunettes rondes et dorées et des lèvres pleines. La nature m’a dotée d’attributs généreux : je fais un 95G, avec de jolis tétons qui ressortent bien lorsqu’ils sont dressés et des aréoles rosées. Mes fesses ne sont pas en reste, j’ai une cambrure naturelle assez prononcée qui donne un aspect plus arrondi et volumineux à mon postérieur.
Je suis arrivée dans cette boite en tant que contractuelle et j’étais sous la responsabilité du chef de service : Cédric, un homme de 45 ans, brun, les cheveux courts, le teint hâlé, toujours bien rasé. Ses sourcils droits lui donnaient un air sévère. C’était comme être avec un papa. Il était toujours prévenant avec moi, avait ...
... toujours un mot gentil pour m’encourager et je commençais ma journée avec un compliment : "Au fait, tu as assuré hier, continue comme ça !" ; ou encore "Magnifique, nos rendez-vous d’aujourd’hui ne pourront qu’avoir le sourire en te voyant".
Nous déjeunions ensemble régulièrement pour faire le point sur les dossiers en cours, les dossiers à venir, et notamment comment je me sentais dans l’entreprise. Bien qu’ayant les capacités de réussir, je ne m’en sentais pas capable. Cédric avait donc toujours les mots pour me réconforter et me faire voir le positif en moi.
Ce jour-là, nous avions travaillé sur la présentation d’un projet pour un gros client. La matinée avait permis de préparer notre oral, vérifier que les diapos étaient lisibles, que les contrats étaient carrés, sans fautes, etc. J’avais commandé de quoi grignoter chez le meilleur traiteur de la ville, ainsi qu’une bouteille de champagne si notre projet passait.
Les clients arrivèrent au début de l’après-midi. Pour cela, je m’étais lissé les cheveux parfaitement, une raie au milieu, une partie tombant dans mon dos, deux mèches se posant sur ma généreuse poitrine. J’avais opté pour un maquillage très léger : des sourcils légèrement dessinés, du mascara pour donner à mes yeux ce regard de poupée et un rouge à lèvres couleur chocolat mat. Pour la tenue, un chemisier blanc avec des boutons nacrés. Il n’était pas fermé jusqu’en haut, laissant voir le haut de mes seins qui se touchaient sans avoir l’air vulgaire. Le ...