Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (25) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (25)

... Difficile pour moi de résister à autant de stimulations simultanées. Je sentis le jus monter à une vitesse assez impressionnante.

— Les filles, je vais éjaculer !

Claire me sourit.

— Ah je le savais ! Marie ? Tu veux le terminer toute seule ?

Ma grande sœur acquiesça doucement. Mais qu’est-ce qu’il lui arrivait ce soir ? Claire se retira et laissa Marie se placer face à moi pour me terminer. Ses seins étant plus imposants que ceux de Claire, elle n’eut aucun mal à entourer mon pénis de ses attributs charnus. Elle continua un va-et-vient en accélérant progressivement. Lorsqu’elle sentit que j’allais jouir, elle se stoppa soudainement.

Pourquoi avait-elle arrêté si près du but ? J’étais sur le point de jouir ! Mais je me rappelai que je devais toujours impérativement jouir dans le vagin d’une fille fécondable. Lou se précipita à mes côtes et laissa mon pénis rentrer en elle. Je pus alors larguer quatre longs jets de sperme chaud au plus profond de son utérus.

— Eh bien ! Voilà qui était amusant ! Dit Claire.

Elle se tourna vers Marie.

— Je crois que tu as gagné un petit cadeau, Marie. Un massage avec orgasme à volonté ! J’espère que tu es prête !

À peine Claire eut fini sa phrase que l’ensemble des filles de la pièce convergèrent en même temps vers ma sœur aînée. Quelques instants plus tard, elle était entièrement nue et était stimulée de ...

... toute part par des langues et des doigts. Seule Claire était restée à mes côtés.

— Elle est bizarre aujourd’hui, Marie, dis-je. Hier, elle ne voulait pas entendre parler de sexe avec moi et voilà qu’elle me fait une branlette espagnole sans rechigner.

Claire pouffa.

— C’est parce que je lui ai parlé cet après-midi, hihi. Il se trouve qu’elle a un crush sur moi depuis plus de trois ans. Je m’en suis douté dès que je l’ai vue pour la première fois. Mais, elle n’a jamais osé me l’avouer. Or, j’éprouve aussi des sentiments pour elle.

— Et tu lui as dit ? Demandai-je, intrigué.

— Oh oui ! On a baisé pendant plus de trois heures, c’était phénoménal ! À la fin, je lui ai simplement demandé si elle ne souhaitait toujours pas prendre part à la survie de notre espèce. Et elle avait l’air super enthousiaste, hihi.

— Eh bah ! C’est marrant ça !

— Je vais te laisser, j’ai la chatte de Marie à polir avec ma langue, hihi.

Et elle se jeta dans la mêlée sexuelle qui prenait place autour de ma grande sœur qui hurlait déjà de plaisir. Je ne pus que fermer les yeux et me délecter précieusement de ce moment hors du temps.

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Merci d’avoir lu ce chapitre des aventures de Tennessee.

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Érotiquement,

FireHorse & Sardinalow