Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (25) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (25)

... Renchérit Judie.

Amusée, Chéryl suspendit le coït et fit remonter sa jupe d’une trentaine de centimètres. À présent, toute l’action était parfaitement visible et les regards convergèrent rapidement vers mon pénis installé dans le vagin brûlant de la jeune femme.

— Super ! Je lance le chrono maintenant ! D’ailleurs, rajoutons une règle : la première d’entre nous à le faire jouir aura droit à un massage des toutes les autres simultanément. Orgasmes garantis Hihi !

Chéryl engagea le coït et commença à rebondir à nouveau sur mon organe turgescent. Malheureusement pour elle, je n’avais toujours pas envie de jouir. Même pas un peu. J’appréciai ces 120 secondes de va-et-vient avant que Claire ne sonne la fin du temps imparti.

— Top !

Déçue de ne pas m’avoir fait jouir, Chéryl revint à sa place et annonça le prochain gage.

— Je propose une branlette espagnole !

— Ça va être problématique ! Dit Claire. On est pas toutes équipées pour ce genre de pratique.

— Au pire, si la personne désignée a de trop petits seins, on en désigne une deuxième et on fait une branlette espagnole double, proposa Lili.

— Bonne idée ! Répondit Claire.

Elle fit tourner la bouteille et cette dernière s’arrêta en direction de Claire elle-même.

— Bon, je ne suis clairement pas équipée pour ce genre de pratique, pouffa-elle en faisant remonter ses seins. Je vais avoir besoin de renfort sur ce coup-là.

Elle relança la bouteille qui fit plusieurs tours avant de lentement s’arrêter ...

... sur… Marie ! Cette dernière sursauta mais ne sembla pas le moins du monde horrifiée comme elle l’était la veille.

— On y va, Marie ? Demanda Claire, intriguée de voir la réaction de Marie.

À la surprise générale, Marie acquiesça doucement. Elle se leva et s’agenouilla avec Claire devant moi. Cette dernière avait déjà retiré son haut et attendit que sa compagne l’imite. Ma sœur ne se fit pas attendre et dévoila sa magnifique paire de seins.

Un tel revirement de la part de Marie était tout de même étonnant. Il y a 24 heures à peine, elle était partie en claquant la porte lorsqu’on lui avait exposé notre plan de survie, horrifiée à l’idée de baiser son propre frère en plus du fait d’être lesbienne.

Ces deux déesses vinrent se placer au-dessus de mon pénis dressé et lubrifié par la mouille de Chéryl. Elles collèrent doucement leurs attributs afin d’englober parfaitement mon organe. Dans les yeux de Marie, je ne lisais que de l’excitation et de l’envie. Mais j’avais l’impression que ça n’était pas moi qu’elle regardait ainsi. C’était en effet Claire qu’elle reluquait tout en faisant monter et descendre ses seins en rythme avec elle autour de mon pénis.

En arrière-plan, je pouvais entendre Satyne couiner allègrement : Yana devait copieusement la masturber. Rien de tel pour faire monter mon plaisir qu’un stimulus auditif tel que celui-ci.

Je repartais mon attention sur mes deux partenaires. Elles alternaient un petit coup de langue sur mon gland à chaque descente. ...