Afrique, quand tu mous tiens ! - Histoires de Sexe

Afrique, quand tu mous tiens !

... spectateurs retiennent leur souffle. Ils sont d’ailleurs de plus en plus nombreux et cela m’inquiète, car il n’est pas question de se faire déborder. Papy, le souffle court, se fait plaisir en prenant son temps. Il marque des pauses et regarde les voyeurs avec un sourire béat, puis reprend ses mouvements de va-et-vient. L’homme prend son temps avec des mouvements longs et appuyés, doux et profonds.

Soudain, Sophie explose, la tête en arrière, le corps arqué, les jambes tremblantes et les lèvres pincées. Magnifique ! Son cavalier est tellement surpris qu’il jouit également dans un mouvement de contraction de tout son être. Un « hummmmm » guttural, surgit de sa bouche. Je l’aide à se relever. Il est rouge et chancelant, mais visiblement heureux.

Un autre homme veut prendre sa place, mais devant la petite foule qui est maintenant présente, je préfère que nous retournions à nos serviettes. Je suis content de voir que personne n’insiste et qu’ils reprennent leur route en quête d’un nouveau ...

... spectacle. Sophie se relève en m’embrassant puis en embrassant Awa. C’est totalement nue, à mon bras, qu’elle descend de la dune, suivie par son lancier. Son string a disparu. Elle essuie des traînées de sperme sur son corps avec sa robe. Ces quelques pas nous ramènent à la réalité. Nous regagnions nos serviettes, suivis du regard par des promeneurs. Sous les rayons du soleil, Sophie s’allonge nue, sur le côté et s’endort immédiatement.

Awa la rejoint dans les bras de Morphée. Je reprends mon livre avec les cris de Sophie qui résonnent encore, en boucle, dans ma tête. Impossible de se concentrer sur l’intrigue.

Le séjour d’Awa va être très fatigant ! Le temps s’est écoulé et il va falloir retourner vers les obligations quotidiennes. Sophie et Awa se lèvent. Mais mon épouse n’a plus rien à se mettre pour traverser la forêt et rejoindre le parking. Awa lui donne son tee-shirt qu’elle enfile se faisant une petite robe courte et très fluide, moulant son corps et l’exposant au gré du vent.