Nymphomane, moi ? Tome II (9) - Histoires de Sexe

Nymphomane, moi ? Tome II (9)

... odeur aigrelette, j’enserrai sa taille de mes bras. Ma bouche se posa à hauteur de son nombril, je sortis ma langue et elle se faufila lentement à travers sa toison pubienne vers la base du sexe que je tenais de ma main droite.

Je le calottai et décalottai plusieurs fois, m’extasiai chaque fois mentalement devant son gland à la forme si particulière. Il est vrai que j’avais vraiment apprécié ses pénétrations lors de sa première visite chez moi, devant mon vieux voisin Paul.

Je fis pénétrer le bout pointu entre mes lèvres, salivai énormément et aspirai, je le sentis avoir un spasme. Lentement, j’enfournai ce gland mauve dans ma bouche et le suçai doucement. Du liquide pré-éjaculatoire coula dans ma bouche, il en produisit une assez grande quantité, je tirai la langue en direction de Maxime puis déglutis le liquide visqueux et incolore en le regardant en souriant.

— Régale-toi, petite Salope ! me dit-il.

Je recommençai à enfourner le gland dans ma cavité buccale, et en l’ouvrant démesurément, avalai lentement demi-centimètre par demi-centimètre le membre aussi gros que mon poignet. Je réussis à en faire entrer la presque la totalité. Je recommençai trois fois l’opération, lui tirant chaque fois des grognements de plaisir, puis je le masturbai vigoureusement, ne faisant pénétrer dans ma bouche que son gland un peu plus loin que sa couronne, ma fellation dut durer une dizaine de minutes, puis des grands jets de sperme giclèrent dans ma gorge, je les avalai au fur et ...

... à mesure en regardant Maxime. Avant que sa bite ne redevienne flasque, j’aspirai le sperme qui restait dans son méat. Un tremblement l’agita, il hurla de satisfaction. Maxime s’approcha, il souriait.

— Bien, bien. Très jolie fellation, vous avez bien joui, Monsieur ? Passons dans la chambre, dit celui-ci, ce sera mieux pour la suite. Je vois que tu te régales petite Salope...

— Oui, oui, mais c’est pour ton plaisir...

Je m’étais couchée sur le lit, étendue sur le dos, les jambes grandes ouvertes pour que Maxime qui se trouvait debout au pied de celui-ci ne puisse rien perdre de ce qui allait suivre. Il avait sorti son sexe et se masturbait doucement.

— A moi maintenant !

Le vieux Louis s’allongea à côté de moi, son énorme queue à moitié rigide reposait sur le haut de ma cuisse, juste après la limite du bas. Sa main gauche calleuse aux ongles sales se posa sur ma cuisse droite, il la passa sous la lanière du porte-jarretelles, puis lentement il la fit remonter et me caressa le ventre sous la mince bande de tissu de dentelle blanche. Elle redescendit sur ma chatte, son index et son majeur entrèrent dans ma vulve. Ses lèvres se posèrent sur les miennes, sa langue fouilla ma bouche, nos salives se mélangèrent...

Maxime me demanda d’écarter un peu plus les jambes, j’obéis. Le paysan en profita pour entrer les quatre doigts de sa main, tandis que son pouce frotta mon clitoris en petits cercles concentriques. Je gémis de plaisir...

Ma chatte écartelée ruissela, ...