1. Nymphomane, moi ? Tome II (9)


    Datte: 19/11/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... sensations exquises sur mes parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors du coït. Son prépuce étiré était d’un brun clair, le corps du membre très brun était étonnamment massif, il était largement aussi gros que le poignet d’un homme normal. De grosses veines apparentes striaient sa surface, son scrotum ridé pendait assez bas et contenait deux testicules presque aussi gros que des œufs de poule.
    
    Je pris sa bite dans mes mains. Je regardai Maxime, une sorte de rictus de dédain, sûrement dû à la laideur des deux hommes, déforma sa bouche, mais ses yeux brillèrent de convoitise en attendant la suite du spectacle, sa magnifique blonde baisée par ces deux monstres !! Rien que d’y penser, il bandait comme un âne !
    
    — Tu sais Max, cette bite me fait connaître le sommet du nirvana, tu vas aimer me voir jouir avec sa queue. Approche-toi, regarde les petits grains qui la parsèment, c’est divin !
    
    Ludo, car c’était son nom dégageait une odeur aigre de transpiration. Son allure générale, son faciès, son hirsutisme me faisaient penser à un primate. Mais, malgré une répulsion certaine, la bestialité qui émanait de lui exacerbait mes sens, une sensation glauque, une fascination malsaine me chauffaient le bas-ventre, ma chatte était trempée.
    
    Je cédai encore une fois à ce désir répugnant, en me donnant comme mauvaise excuse que je devais satisfaire la libido de Maxime, je sus que je me mentais, j’allais exploser de plaisir en me faisant baiser par ces ...
    ... deux êtres abjects, et de plus devant Maxime, ce qui mit encore plus de piment à ce jeu pervers, car j’étais consciente que cela en était un ! Et cela m’excita encore plus.
    
    Il s’extirpa de sa salopette et se tint gauchement. Je m’approchai, cette fois, ce fut moi qui l’enlaçais, je frottai mes mamelons durcis contre la toison noire et étonnamment douce de sa poitrine, une décharge électrique me traversa le corps. Je luis saisis la bite et le masturbai doucement, je l’embrassai goulûment, puis ma langue descendit sur ses pectoraux velus et je lui mordillai et suçai les tétons, avec ferveur.
    
    On prit ma main. Maxime voulait-il faire cesser ce jeu dévoyé ? Non, il m’entraîna sur une sorte de pouf sur pied, il s’accroupit à côté. Il ôta mon string et me fit asseoir les jambes largement écartées en face des deux hommes.
    
    Tout en titillant d’une main mes mamelons durcis par le désir, il écarta les grandes lèvres de mon sexe fit saillir mon clitoris, de la cyprine coulait à flots de ma chatte tachant le tissu du pouf.
    
    — Regardez comme sa chatte est humide et baveuse. C’est vrai que vous l’excitez et qu’elle désire vos bites ! Voyez mon doigt, il est luisant de son foutre, vous allez vous régaler. Et toi petite coquine, ta chatte palpite toute seule...! Il est l’heure de donner un acompte à ces messieurs, je suis certain qu’ils vont te faire jouir. Qui va être le premier ?
    
    Ludo, le petit gros s’approcha. J’étais assise et ma bouche était à hauteur de son sexe. Malgré son ...
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