1. Amazonie (15)


    Datte: 19/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Miss Arthur, Source: Xstory

    ... Alejandro, nous n’aurions pas dû.— Je vous pardonne et je conçois que je sois une telle source de mystère. Après tout, je suis une femme assez hors normes, fis-je avec un clin d’œil.J’ajoutai, pour noyer le poisson et faire tourner court à la discussion :— Cela dit, Isabella prend un chemin similaire.— C’est pas faux, dit Alejandro.— Je suis encore loin du niveau de ma belle-mère, dit Isabella.— Bah c’est normal, tu es sous-lieutenante et moi commandante.— Ah vous me faites trop rire avec vos histoires de militaires ! intervint Mercédès. Je crois que je suis un peu pompette. Merci pour cet excellent repas.Nous nous levâmes pour rejoindre nos chambres, enfin notre chambre, Isabella à part. Arrivé·es à l’étage, puis dans la chambre, je commençai à enlacer et à embrasser Mercédès, sous l’œil amusé d’Alejandro. Elle voulut se débarrasser de sa robe et je l’aidai. Vu le froid de la saison, elle avait mis des chausses qui lui arrivaient à mi-cuisse et portait une culotte en dentelle, ainsi qu’une autre pièce, de dentelle aussi, autour de sa poitrine.— Oui, c’est une idée que j’ai eue, pour la poitrine, cela aide mes seins à tenir, je vieillis.Elle était très belle dans cette tenue, les chausses noires faisaient ressortir sa belle croupe. Cette idée de porter de la dentelle au plus près de la peau était superbe. Alejandro lui dit que ses seins étaient très biens et qu’elle n’avait pas à avoir de complexe. Je fus bientôt nue moi aussi et nous reprîmes nos caresses saphiques. Nous ...
    ... nous mîmes bientôt tête-bêche sur le lit et comme dans mon rêve avec Gaspar, Alejandro cous regarda un temps avant de venir me pénétrer la chatte alors que jusqu’ici Mercédès s’en occupait avec sa bouche. Il lui demanda si cela la dérangeait qu’il me prenne ainsi. Elle lui accorda de bonne grâce arguant qu’il était mon mari. Je sentais à la fois la pénétration d’Alejandro et et le souffle de la respiration de Mercédès sur ma vulve bien pistonnée. Ses doigts jouaient avec mon bouton. Pour ma part j’avais de plus en plus de mal à lécher sa fente sous les coups de boutoir de mon mari. Il se vida en moi et je jouis presque simultanément. Je me relevai pour l’embrasser et Mercédès se leva pour aller fouiller dans sa malle.— Tiens un cadeau pour toi, me dit-elle en me donnant un objet enveloppé dans un linge.— Je crois avoir une idée, lui dis-je.— Ouvre, tu verras.C’était effectivement ce dont j’avais rêvé et dont nous avions parlé lorsque j’étais allée la voir au couvent : un godemiché, équipé de lanières ! Alejandro fut surpris en le voyant mais cela le fit sourire.— Merci Mercédès, fis-je. Qui l’étrenne ?— À toi l’honneur, Jéromine, prends-moi comme si tu étais un homme.— Bien, Ma mère, lui dis-je en riant.Elle me ceignit l’objet autour de la taille. Elle me dit que j’étais belle ainsi, une femme avec une bite… Alejandro était toujours aussi hilare. J’étais debout, Mercédès se mit à genoux devant moi pour faire une fellation à l’olisbos. Bon je ne sentais pas grand chose, sauf ...
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