Amazonie (15)
Datte: 19/11/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Miss Arthur, Source: Xstory
... cela.Mercédès arriva dans l’après-midi, elle resterait deux jours car elle avait beaucoup à faire au couvent, que dis-je, à l’abbaye. Alejandro la serra lui aussi dans ses bras à son arrivée.— Vous savez, Mercédès, dit-il, c’est un peu grâce à vous si Jéromine est devenue mon épouse.— Cher Alejandro, vous me flattez. Vous savez que je ferais tout pour Jéromine.— Elle le mérite bien.Nous allâmes sur le patio prendre un rafraîchissement. Alejandro nous laissa seules.— Et le petit Diego ? demanda Mercédès.— Il dort, il fait sa sieste. Tu le verras après. Je suis contente de te voir.— Moi aussi.— Comment ça va au couvent ?— Mieux, j’ai commencé à former une nouvelle adjointe.— Très bien. Et ?— Comment ça, et ? Tu veux dire…— Oui…— En fait non, je n’ai pas de nouvelle amante. Et puis pourquoi voudrais-tu que mon adjointe soit mon amante ?— Euh, oui, tu as sûrement raison, quelle idée saugrenue de ma part.— Je t’ai amené un cadeau. Il est dans ma malle.— Ah très bien, nous le verrons plus tard, j’ai fait monter ta malle dans notre chambre.— Dans votre chambre ? Mais ou allez-vous dormir ?— Ben, avec toi…— Mais Alejandro ?— Il n’a rien contre nous voir nous aimer…— Ah je vois, comme dans ton rêve avec Gaspar et moi au couvent.— Euh, oui en quelque sorte…— Ça tombe bien.— Comment cela ?— Surprise ! Allez ressers-moi de cette excellente citronnade.Et nous passâmes un long moment à papoter entre filles. Nous dînâmes à quatre, Isabella était présente, de retour de mission. Ce fut un ...
... repas très agréable et nous racontâmes comment j’avais libéré Isabella pendant mon exercice de fin de formation.— Papa m’avait fait mettre des haillons puants, on aurait dit une souillon ! dit-elle.— Oui, mais cela n’enlevait rien à ta beauté, chère belle-fille, dis-je en lui prenant la main.— Certes mais Jéromine fut d’un professionnalisme à toute épreuve.— C’est tout elle, fit Mercédès.Alejandro riait sous cape et nous resservit de son excellent vin.— Alejandro, tu ne nous refais pas le coup du test de résistance à l’alcool, lui demandai-je.Je me tournai vers Mercédès :— Cela fait partie de la formation pour voir si on risque de parler en ayant trop bu.— Excellent, dit Mercédès, mais que pourrais-je dire de compromettant si j’avais trop bu ?— Des choses à propos d’une certaine Jéromine, peut-être, dit Alejandro amusé.— Effectivement, il y aurait des choses à dire, dis-je.— Ah oui, dit Isabella ? Comme ?— Désolée, ma fille, tu crois savoir des choses sur Jéromine, mais pas tout. Tout est secret. Même moi je n’ai pas réussi à savoir ce que j’aurais aimé connaître.— Moi non plus je ne sais pas tout, dit Mercédès.— Bon, vous arrêtez de vous y mettre à trois contre moi ? Si je vous le disais, vous ne pourriez pas me croire de toute façon.— Le pauvre Gaspar connaissait-il la vérité ? insista Mercédès.— Une partie seulement, lui aussi. Mais vous savez que je ne vous dirai rien. Cela dit je l’écrirai peut-être un jour quand je serai vieille et proche de mourir.— Excuse-nous, fit ...