1. La baronne de Saintonge


    Datte: 19/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le débauché, Source: Hds

    ... ne m’a pourfendue de la sorte.
    
    — Brisons là, madame. Je ne veux plus entendre que vos gémissements. Et regardez donc votre fille, elle se frictionne le minou de bien jolie manière.
    
    La baronne encouragea sa fille :
    
    — Caressez-vous proprement ma fille, cela semble plaire à votre futur époux.
    
    Flore Saintonge, n’avait pas besoin de ces encouragements. Elle s’activait vigoureusement sur son clitoris mais ne perdait rien des assauts du comte qui emportait la baronne à composer ses games dans les aigus.
    
    — C’est bien madame, continuez. Il me plait de vous entendre tandis que je glisse dans votre fourreau.
    
    Soudain la baronne poussa un hurlement.
    
    — Que se passe-t-il, mère, fit Flore ?
    
    — Elle jouit mon enfant, la rassura le comte.
    
    Puis il déchargea dans un grognement.
    
    Il libéra les fesses de la baronne de Saintonge, et arbora toujours une belle érection.
    
    — Oh, monseigneur. Cet apothicaire est un magicien.
    
    Le comte éclata de rire puis il demanda :
    
    — Avez-vous de quoi me baigner madame ?
    
    — Bien sûr monsieur le comte. Je vais donner des ordres.
    
    Elle se rhabilla, puis entrebâilla la porte.
    
    — Un baquet pour le comte.
    
    Dix minutes plus tard les domestiques s’affairaient à verser de l’eau chaude dans le vaste récipient ovale protégé par un drap.
    
    — Voulez-vous que j’appelle vos gens monseigneur ?
    
    — Vous aurez bien quelque domestique habile à ce genre d’ouvrage.
    
    — Certes monseigneur, toutefois je pense que si l’honneur en revenait à ma ...
    ... fille, elle pourrait ainsi se familiariser avec votre personne.
    
    — Fort bien. Voilà une idée qui me sied.
    
    Le comte glissa dans l’eau. Il ferma les yeux et sentit bientôt la pâte mouille glisser sur ses épaules. Lorsqu’il souleva les paupières il aperçut deux grosses mamelles qui gigotaient à hauteur de son visage. Il approcha la tête pour gober un téton. Flore, saisie par la surprise, s’arrêta de frictionner. Le comte téta un long moment puis il s’écria.
    
    — Il suffit mon enfant. Cessez de me cirer le dos et prenez plutôt soin de briquer ma queue car vous aurez avant ce soir le devoir d’en connaître le goût.
    
    — Oui monsieur le comte.
    
    Le compte se leva, la queue au garde à vous.
    
    — Alors, vous plait-elle mon enfant ?
    
    Flore de Saintonge ne répondit pas. Le comte lui saisit le menton.
    
    — C’est la présence de madame votre mère qui vous ôte la parole ? Pourtant je gage qu’elle vous a transmis quelques dispositions qui font de vous, bien que vous l’ignoriez encore, une vraie catin. Et c’est ainsi que je vous veux. Or donc, je vous en conjure, cessez de vous comporter comme une nonne et ayez pour ma bite, et les mots, et les gestes qui conviennent. Je vois d’ailleurs que vos tétons dressés trahissent votre émoi.
    
    Soudain la baronne de Saintonge se leva. Elle chargea les mains de sa fille de mousse puis les approcha de la queue épaisse.
    
    — Savonnez-la doucement sur toute sa longueur puis descendez jusqu’à ces grosses bourses qui pendent et qui me semblent encore ...
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