La baronne de Saintonge
Datte: 19/11/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Le débauché, Source: Hds
Flore de Saintonge se leva bien avant l’aube, comme chaque matin, pour enfourcher Eclair, son pur sang. Et comme chaque matin elle était nue pour chevaucher dans la campagne. Elle montait à cru et chaque mouvement du cheval se répercutait délicieusement sur sa vulve. Ses seins laiteux et lourds, se dandinaient allègrement. Elle n’aurait pu désormais se soustraire aux deux orgasmes matinaux que sa longue chevauchée lui offrait. Elle rentrait souvent abasourdie par le plaisir et laissait volontiers la liberté de l’itinéraire à son fougueux destrier. Lorsqu’elle en descendait, elle ne manquait jamais de jeter un rapide coup d’oeil sous l’animal et elle voyait parfois le membre puissant déployé. Cela lui provoquait toujours un vif émoi. Agée de 18 ans, pucelle, elle n’avait jamais vu un corps d’homme et nourrissait les plus vifs fantasmes. Elle prenait soin d’entrer et de sortir du château par l’accès nord des écuries, très peu utilisé, mais frissonnait néanmoins, malgré l’heure, à l’idée d’avoir été aperçue. A 5h30 elle était de retour dans son lit, une demi-heure seulement avant le réveil des domestiques. La baronne de Saintonge, sa mère, veuve, la destinait à un comte de quarante ans son ainé, mais très fortuné. Et en 1760 on ne discutait pas les décisions de ses parents. Flore de Saintonge, n’oubliera jamais cette soirée du 8 septembre qui célébrèrent ses fiançailles avec le comte de Rochefort qui arriva en grande tenue d’apparat, porté par un carrosse cousu d’or. Flore qui ...
... guettait son arrivée derrière les carreaux de sa chambre, insouciante et à peine sortie de l’enfance, en fut émerveillée. Malgré ses protestations elle fut habillée en tenue de cour, corps à baleines rigidifié par un busc lacé dans le dos. Son opulente poitrine, bien qu’écrasée, débordait du vêtement. Le tout était dissimulé par une robe turquoise assortie à ses yeux. La baronne, en accoutrant sa fille de la sorte voulait subjuguer le comte car il était hors de question que les aises de sa fortune lui échappassent. Flore ignorait tout de l’homme, hormis qu’il fut comte et cela, durant quelques heures la charma. Comtesse à 18 ans à peine ! Sa mère, venue l’inspecter lui fit encore de nombreuses recommandations, dont celle de se montrer soumise à son futur mari, comme toute femme, noble ou pas, à cette époque, doit l’être.
— Oui mère. Répondit-elle.
Flore se sentait excitée… Impatiente de rencontrer le comte auquel elle prêta les plus gracieuses physionomies. Puis arriva l’heure des présentations. Flore fut conduite par la gouvernante dans le salon des portraits où le comte l’attendait. Découvrant l’homme, grisonnant, elle faillit s’évanouir.
— Ressaisissez-vous ma fille, la tança discrètement la baronne. Il n’est point temps de faire la fine bouche. Le comte est un homme de bien et il saura vous apporter l’aisance et le confort.
Flore, les yeux embués, osa répondre :
— Et pour le reste, mère ?
— Vous n’aurez qu’à fermer les yeux. Avancez.
Au cours du repas, ...