1. La baronne de Saintonge


    Datte: 19/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le débauché, Source: Hds

    ... charger.
    
    — J’allais vous le proposer, comte.
    
    Ainsi la baronne dévêtit le comte et lorsqu’elle ôta les sous vêtements en soie pourpre elle poussa un cri d’admiration.
    
    — Oh, monseigneur, quel appendice !
    
    Le comte s’exclama :
    
    — Je suis heureux qu’il vous siée. C’est un fidèle compagnon qui ne m’a jamais trahi et qui attend impatiemment que vous fussiez nue pour engager le combat.
    
    La baronne commença à se dévêtir.
    
    — Quelques petites douceurs vous siéraient-elles avant de livrer bataille monseigneur ?
    
    — Ma foi, je crois qu’un pareil gourdin mérite qu’on lui rende hommage.
    
    — Si fait ! J’ai une bouche gourmande qui convient tout à fait à pareil étendard.
    
    — Prenez garde madame, je risque fort de vous l’enfoncer jusqu’à la garde.
    
    — Permettez-moi, mon cher comte, de vous branler un peu, afin qu’en ma bouche vous entriez droit et fier.
    
    — Soit et n’ayez peur de me sucer longuement. Je suis par nature lent à décharger.
    
    — Entendu monseigneur. Mais j’espère qu’en revanche, vous êtes de nature à recharger vite car il est dans mon projet de vous faire jouir en ma gorge et de profiter sans trop tarder de vos assauts vaillants en ma chatte impatiente.
    
    — N’ayez crainte madame. Avant une heure je vous aurai sailli par tous vos orifices.
    
    — Vous me combleriez monseigneur.
    
    — Brisons là madame, mais avant de vous mettre à l’ouvrage j’aimerais savoir combien de queues vous avez sucées depuis votre défunt mari.
    
    — Une seule mon cher comte.
    
    — Une ...
    ... seule ? J’exige d’en savoir plus.
    
    La baronne lentement fit coulisser le prépuce une nouvelle fois sur le gland avant de répondre :
    
    — Une seule, mais tous les jours, monseigneur. Celle de mon palefrenier.
    
    — Vraiment ?
    
    — Oui, monseigneur.
    
    — Et vous plait-elle autant que celle-ci ?
    
    — Je n’ai pas encore goûté la vôtre monseigneur.
    
    — Et bien qu’attendez-vous baronne. Sucez !
    
    La baronne enfourna la bite épaisse et offrit au comte une récréation qui le ravit.
    
    — Vous êtes une suceuse de premier ordre madame.
    
    — Vous me flattez comte.
    
    — Que nenni. Mais je vous en prie, poursuivez et veillez à ne point oublier mes bourses, cela renforce encore ma vaillance.
    
    Le comte se mit à gémir. Sa respiration s’accéléra.
    
    — Dois-je vous avertir que ma semence est abondante ?
    
    — N’ayez crainte, monseigneur. Je ne vous ferai pas l’affront de me retirer.
    
    La baronne se mit à pomper vigoureusement et le comte se répandit dans sa gorge. Elle sentit sa chatte bouillonner et regretta d’avoir soulagé le comte auquel l’âge allait imposer un long repos avant qu’il ne fut en état de poursuivre. Pourtant pas plus de cinq minutes ne s’écoulèrent avant qu’elle ne sentisse le comte empoigner sa maigre poitrine.
    
    — Je n’ai pas les appâts de ma fille, lança-t-elle.
    
    — Certes, mais leur fermeté me ravit.
    
    Le comte plaqua ses reins contre les fesses de la baronne.
    
    — Oh, monseigneur, déjà !
    
    — J’ai un apothicaire qui maitrise l’art, par ses potions, de garder à la chose ...
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