Comblées (1) - Histoires de Sexe

Comblées (1)

... travers le tissu qui les recouvrait, passant ensuite mes mains sous sa robe pour attraper ses fesses et les peloter tendrement pendant qu’elle me chevauchait amoureusement, ses cuisses se serrant de part et d’autre de ma taille.

Je sentais son plug presser sur ma tige depuis l’envers de sa paroi vaginale à chaque va et vient, le mien se manifestait également à chaque contraction de mon périnée que cette intense chevauchée provoquait. La poitrine généreuse de Mandy appuyant sur mon torse à travers ces vêtements était une autre des délectables sensations qui rendaient nôtre acte si délicieux. Nous nous enlacions passionnément, tous ces stimuli, nos tenues affriolantes et délicates à la fois, nos gestes et pensées emplis de désir, nos corps brûlants d’envie, nous rapprochaient peu à peu des nues, dans le chant si mélodieux de nos soupirs, nos gémissements, nos cris de bonheur...

Lorsqu’arriva le moment suprême, nous nous sentions presque accéder à une autre dimension. Au point de non-retour, c’était comme si l’univers tout entier n’était plus fait que de nous, et nos ...

... orgasmes approchants semblaient pouvoir combler tout vide dans cette bulle imaginaire. Et tout à coup nos jouissances se déclenchèrent telles une gigantesque explosion. Nos cris simultanés remplissaient la pièce, mon sperme jaillissant tel un geyser se mêlant aux torrents de jouissance féminine en elle, et nos ultimes saccades nous propulsèrent enfin jusqu’au paradis, alors que nôtre étreinte fusionnelle en était à son chant du cygne et que nous fondions en extase l’une dans l’autre et l’autre sur l’une, nous vidant et nous remplissant à la fois...

Comblées... nous prolongions cette accolade érotique tout en nous caressant, les bouffées d’endorphines parcourant nos corps nous faisant peu à peu basculer dans une plénitude absolue. Et alors que le sommeil s’emparait peu à peu de nous, je me sentis débander jusqu’à sortir de Mandy malgré moi, et le mélange de nos crèmes de luxure venait s’écouler peu à peu entre nos deux bassins, inondant ma culotte, alors que nous nous endormions dans la plus exquise des joies et la plus profonde des sérénités. Nous étions... comblées.