1. Premiers plaisirs anaux (2)


    Datte: 18/11/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Janis, Source: Xstory

    ... était parfaitement épilée et qu’elle dégoulinait, on pouvait voir, sous les grandes lèvres, le jus qui disparaissait dans le début de la fente de ses fesses posées sur le matelas. Je pense que Dieu a au moins un peu créé le genre humain pour que nous puissions avoir le plaisir de parcourir à pleine main la raie des fesses totalement lisse et humide des jeunes femmes ! C’est un plaisir qui n’a pas de prix et que je recommande bien sûr aussi aux femmes. J’avais donc mis mes doigts dans la brèche sous le vagin, et, de là, ils avaient glissé comme des anguilles sous un rocher, au milieu de cet adorable cul, ferme et rosé malgré sa bonne taille. Or je ne couchais pas cette fois-ci avec une pucelle, ma partenaire avait déjà compris où je voulais en venir pour son bonheur, et elle se tourna instinctivement, se mit à quatre pattes et me présenta son boule grand ouvert, luisant comme si elle avait été en caoutchouc.
    
    On pouvait deviner que son anus avait déjà connu quelques allers-retours, il était parfaitement serré et il attirait à lui les plis des fesses comme le soleil les rayons.
    
    Je lui enfonçai mon majeur, elle fit un bruit d’approbation, à la suite de quoi je décidai d’y installer chacun des doigts de ma main droite. Le pouce entra aussi, et nous poussâmes de toutes nos forces ma main le plus loin possible, dans les vapeurs du plaisir et de l’alcool. Hélas pour faire entrer le poing, il aurait fallu des mains plus fines que les miennes, trop larges et carrées. Nous ...
    ... aurions pu insister, mais son anus avait rendez-vous avec mon pénis, que je dus déballer moi-même de ma main gauche, pendant que mon amie se massait le clitoris. Elle transpirait énormément et c’était la sueur qui achevait de lubrifier la raie toujours bien visible entre les deux miches.
    
    Enfin, je m’accroupis derrière elle, la bite de marbre et les couilles en feu, je posai ma main sur son dos, elle avait une joue au sol, de sa main gauche elle s’écartait la fesse, l’autre cherchait à guider ma queue. Je posai mon gland au milieu de ce saint des saints, de ce trésor de la nature qu’est le postérieur d’une femme soignée et chaude. Je pensais encore que, comme la dernière fois, il allait falloir pousser pour entrer, mais c’était oublier que j’avais affaire à une femme d’expérience : son anus s’ouvrit facilement, et moi qui poussais comme un âne, je me retrouvai brutalement la queue enfoncée jusqu’aux couilles ! Elle ne put manquer de laisser échapper une sorte de cri grave, mais elle ne lâcha pas sa fesse pour autant, elle attrapa la deuxième avec sa main libre et me demanda, dans un souffle, de la baiser à fond. Ce que je m’efforçai de faire, cognant mes couilles trop remplies sur ces fesses luisantes.
    
    Son anus ne serrait pas autant que le premier et je pus par miracle lui offrir plusieurs minutes de plaisir ; mais trop vite, mon gland qui frottait sa paroi, ma verge sur laquelle elle exerçait une pression savamment calculée demandèrent grâce.
    
    J’eus le réflexe de l’attraper ...