1. Premiers plaisirs anaux (2)


    Datte: 18/11/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Janis, Source: Xstory

    Je vous avais précédemment raconté comment et avec qui j’avais eu le plaisir de franchir la petite porte des grands plaisirs anaux. Dans le premier chapitre, j’avais doigté et enculé pour la première fois une jeune femme de mon âge (qu’elle soit ici remerciée de tout le sperme qu’elle a su me soutirer !) elle-même assez gourmande du cul, mais sans expérience. Il était temps pour moi de changer de crémière, et quelques mois après ces évènements, je me trouvais en présence d’une autre jeune femme.
    
    C’était une petite Russe aux cheveux châtain clair, coupés un peu au-dessus des épaules, dont la bouche souriait largement, imitant un croissant, des seins blancs, qui laissaient voir leurs veines, en forme de poire et un cul rond et large qui n’avait rien à voir avec celui de ma première victime, petit et rebondi. Nous avions beaucoup bu, et elle m’avait suivi toute la soirée, chez un ami qui organisait une partie de jeux de société. J’avais rapidement compris qu’elle voulait se faire baiser par ma personne et je l’avais donc rapidement guidée chez moi après avoir pris congé des joueurs de donjons et dragons qui continuaient à jeter leurs dés dans la fumée de cigarette.
    
    J’avais, à ce moment, les couilles comme des pêches et puisque j’avais compris que cette poule était déterminée à finir embrochée, je ne pris même pas le temps une fois chez moi, de lui offrir un autre verre : je lui offris plutôt ma langue, et nous nous roulâmes quelques pelles humides, avec des bouches plus ...
    ... gluantes que les chattes de deux lesbiennes en chaleur, quand après avoir passé une après-midi à la plage, elles se frottent l’une contre l’autre dans la position des ciseaux.
    
    Homme d’une certaine expérience déjà, je n’attendis pas qu’elle me lâche la langue pour lui empoigner un nibard, à travers son pull, qui eut tôt fait d’apprendre à voler. Et rapidement, je décollai ma bouche de ses grosses lèvres pour lui baver dessus : elle avait déjà les tétons comme du granite, une cam-girl aurait pu s’assoir dessus. En même temps que je me faisais les dents sur ses mamelons, je commençai à lui peloter la chatte, en ne commençant pas doucement, et en misant sur le plaisir brutal plus que sur l’érotisme. Il faudrait que le législateur admette qu’on peut parler de consentement quand une fille mouille jusqu’à travers son Jean. Elle le retira en se tortillant du cul, car je l’avais mise sur le dos, au bord du lit. Et je retirai la culotte qu’on aurait pu servir comme rince-doigts dans un restaurant asiatique.
    
    Elle fit un bruit bizarre en tombant sur le carrelage, qui se mêla à ses soupirs et à ses petits cris, lorsque je lui mis les doigts dans la chatte un peu comme j’aurais pu faire avec une marionnette. Elle avait le maillot épilé, mais je ne voyais pas l’intérêt de lécher tant elle était humide, visqueuse et luisante. Je vis par contre assez bien l’intérêt d’y mettre quatre doigts et de baratter à fond, histoire de faire sortir quelques sons de cette large bouche.
    
    Comme elle ...
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