1. Tombés du ciel (39)


    Datte: 15/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... un peu pour arriver plus dignement. On ne va tout de même pas débouler comme des sauvages !
    
    Tous acquiescèrent et ralentirent le pas. De toute façon ils ne devaient plus être qu’à une centaine de mètres. Roger se demanda s’il n’était pas trop tard pour profiter de la fin d’après-midi. Non, il était à peine 17h, ils pourraient rester là-haut au moins deux heures avant de redescendre. Ils étaient presque en vue de la petite plage et entendaient le clapotis joyeux du petit torrent. Par contre, leurs compagnes étaient silencieuses, Roger pensa qu’elles s’étaient endormies au soleil. Sa marche se fit plus légère et ses compères en firent de même. Il ne fallait pas réveiller leurs conjointes et petite-amie en sursaut.
    
    A la sortie d’un tournant, alors que le sentier longeait un peu cet espace dégagé avant d’y accéder, ils purent voir ce qu’il s’y passait. Encore cachés par quelques buissons et arbustes, ils restèrent subjugués par le spectacle que la nature leur offrait. Le soleil faisait scintiller l’eau du torrent, les arbres en filtraient les rayons semant des tâches d’ombre et de lumière un peu partout. A côté, le gazouillis des oiseaux et de l’eau vive était aussi un délice pour les oreilles. Un parfum frais de pin, d’herbes et d’humus chatouillait leurs narines. Pourtant ce que Mère Nature leur donnait était loin d’égaler ce que la nature de leurs femmes leur offrait.
    
    Alicia, Bérénice, Karima et Victoire étaient allongées, les pieds encore dans l’eau. Leurs peaux, ...
    ... parsemées de petites gouttelettes, brillaient comme des diamants. De la peau très mate de Karima à celle diaphane et blanche de Bérénice en passant par les tons rosés de Victoire et légèrement cuivrés d’Alicia, ils avaient là un splendide camaïeu à dévorer des yeux. Leurs cheveux bruns, blonds, gris, châtains étaient mouillés par l’eau et la sueur ; plaqués en arrière ils leur donnaient un air de femme fatale. Leurs seins et leurs sexes imberbes, pourtant à nus, étaient masqués par des mains agiles. Leurs lèvres étaient tendrement scellées, Bérénice avec Victoire et Karima avec Alicia.
    
    De faibles gémissements parvenaient enfin aux oreilles des quatre hommes. Cette musique, bien plus douce, n’était plus masquée par celle de la nature. De même, un léger fumet de femme se mêlait subtilement aux parfums de la flore pour le remplacer totalement dans l’odorat des voyeurs. Là, à quelques mètres, elles se donnaient du plaisir, librement, sensuellement, amoureusement. Ce tableau ne les laissa pas indifférent, ils se mirent à bander comme des fous en un instant.
    
    — J’y crois pas... Elles ont vite oublié le cinéma, lâcha Bruno.
    
    — Oui, c’est clair.... On fait quoi ? demanda Ugo les yeux fixés sur les femmes.
    
    — Euh... Je ne sais pas, avoua Roger. Oh ! Elles se retournent !
    
    En effet, Bérénice et Karima venaient de se mettre tête bèche avec leurs partenaires respectives. De là où ils étaient, ils pouvaient voir que Victoire et Alicia donnaient activement de la langue sur les ...
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